Roulette russe
Datte: 01/07/2018,
Catégories:
grp,
jeunes,
école,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
fouetfesse,
L’ennui règne dans une résidence de grande école, en grande banlieue parisienne, loin de tout. Seules activités possibles : celles organisées par les élèves (et on en fait rapidement le tour) et les discussions sans fin dans les chambres. Ce soir-là nous étions quatre dans la chambre de Véronique et la conversation était venue sur le terrain des paris et des risques. Jacques nous parlait d’un film (j’ai oublié lequel) avec une scène de roulette russe. Béné soutenait qu’il fallait être fou pour faire un truc pareil. Véro lui a répondu que c’était le résultat de l’ennui qui peut conduire à faire n’importe quoi, rien que pour se changer les idées, pour montrer que l’on existe, pour sentir un frisson… J’ai fait remarquer que côté ennui nous étions servis mais que nous n’avions pas de six-coups. À cet instant la conversation a basculé du général au particulier et nous a entraînés vers une situation inédite. Véro : « C’est le principe qui compte. Prendre un risque. Faire un pari fou » Jacques « Tu serais prête à risquer ta vie pour éviter l’ennui ? » Béné : « Non, l’époque a changé. » Véro : « Moi je meurs d’ennui ! Je serais prête à tout pour me changer les idées, mais quand même pas à risquer ma vie. » Jacques : « C’est le principe du pari qui est important. Prendre un risque énorme, quelque chose qui dépasse les bornes, les conventions. Le jeu c’est l’excitation, le regard des autres, le pari avec soi-même. » Béné : « Si tu es prête à tout, Véro, il doit bien avoir quelque chose ...
... que tu ne veuilles absolument pas faire et qui pour toi revienne à l’idée d’une balle dans la tête. Je ne sais pas moi, te promener à poil dans la résidence par exemple. » Jacques : « Avec les fesses bien rouges pour montrer que tu es encore une petite fille punie… » Véro (qui commençait à ne plus maîtriser la situation mais ne voulait en aucun cas avoir l’air de se dégonfler) : « C’est vrai que l’humiliation serait horrible, sentir tous les regards sur moi. Être fessée c’est autre chose, ma peur c’est la douleur, recevoir des coups de martinet, de fouet, être marquée… Il y a toujours un fantasme qui fascine et fait horreur. Dommage, nous n’avons ni martinet, ni fouet… et surtout il manque l’essentiel : le six-coups pour le hasard. Il ne nous reste plus qu’à mourir d’ennui ! » Moi : « Tu frimes mais tu ne prendrais pas le risque ! » Béné : « On peut toujours remplacer le martinet par une brosse à cheveux et le fouet par ta cravache ! Pour le six-coups j’ai un dé… alors… chiche ? Tu es prête à vaincre l’ennui ? » Côté ennui, il faut reconnaître que notre conversation l’avait totalement fait disparaître. Tout le monde a regardé Véro. Piégée. Elle a inspiré un grand coup : « OK » et elle a ajouté, probablement par bravade, « mais seulement sur les fesses, la cravache ! » C’est nous qui étions bluffés. Je regardais Véro, la bouche ouverte. Il faut dire que Véro est une très jolie fille de vingt ans, châtain clair, une sportive tout en courbes harmonieuses. Rien qu’à l’idée de la ...