1. Le piège du vestiaire


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... lance une banalité pour qu’il me laisse le temps de finir de m’essuyer et de sortir de l’encadrement de la porte de la douche. Mais, chose imprévue, la scène provoque en moi une chaleur qui a pour conséquence de finir le travail commencé : je commence à bander carrément. Je décide donc de masquer mon émoi avec ma serviette, mais c’est trop tard, il m’a vu. Et si je me faisais de films… que va-t-il penser ? Et s’il le répétait ? Ces pensées on l’avantage de faire retomber « la pression ». Léo a pris a pris ma place dans la douche. Il ne dit plus rien et moi non-plus. Pourtant un détail me surprend au bout d’un moment. Je trouve que sa douche s’éternise… Toutes les éventualités me passent par la tête. Je décide le tout pour le tout. Je rentre dans la douche en prétextant avoir oublié mon gel douche. Léo est tourné face conte le mur. Je ne vois que ses belles fesses rondes et son dos musclé. Ses mains sont clairement sur son pubis et le mouvement du bras droit ne laisse aucun doute : il est en train de se branler ! Quand il m’entend parler, il a un mouvement de sursaut et il pivote légèrement vers la droite. Il tente de cacher son sexe, mais il n’y parvient qu’à moitié, compte tenu de sa taille en érection. Je reste là, interdit, et lui rouge comme une pivoine. Il essais de baragouiner quelques chose mais ce ne sont que des onomatopées dans sa bouche. Malgré la prévisibilité de la situation que j’ai provoquée, je suis quand même étonné. D’abord par le culot qu’il a de se ...
    ... branler là, dans une douche sans porte à quelques mètres de moi. Ensuite, de la taille de l’engin que je viens de voir entre ses jambes. Une verge longue d’au moins vingt centimètres et d’une largeur conséquente, surmontée d’un gland décalotté plus large, posé comme une tête sur un corps. Sur son corps sec et long, l’ensemble forme une harmonie certaine. L’image dégage une forte puissance masculine, débordante de testostérone. Lorsqu’il constate mon arrêt devant lui, qu’il est certain d’avoir été pris la main dans le sac (ou sur le paquet devrais-je dire ici), il dégage ses mains pour me laisser pleinement voir son intimité. Je vois parfaitement maintenant son pénis. Il est tellement bandé, que le gland touche ses abdominaux formés. L’eau qui dégouline sur son corps souligne le caractère érotique de la scène. Il ne dit plus rien et me regarde droit dans les yeux. Il est face à moi maintenant, complètement tourné. Je suis toujours immobile en admiration devant ce corps d’éphèbe. Je dois dire ou faire quelque chose, mais quoi ? Je me décide enfin à dire : - Et bien ! je vois que tu t’amuses bien ! Quelle phrase de merde ! Je suis complètement naze. Il me répond en baissant les yeux sur le slip que j’avais enfilé avant de rentrer dans la douche : - Je vois que toi aussi tu aimerais bien t’amuser … Mon regard suit le sien. En baissant la tête, je vois que mon slip déborde d’une forte érection. Le gland tendu dépasse même de l’élastique de mon freegun. Je suis sidéré de ce que je vois ! ...
«1234...7»