Le piège du vestiaire
Datte: 02/07/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... douce, de ces muscles fermes, tous ces attributs de jeunesse n’ont pour effet que de rallumer mon désir. Je bande à nouveau très dur. Je le retourne et je constate que lui aussi en redemande. Mais la douche n’est pas terminée… Je savonne chaque recoin de son corps puis le rince consciencieusement. A son tour, il prend la main et me prodigue les mêmes soins, en insistant tout particulièrement sur mon sexe qu’il semble adorer. Je dois dire que de ce côté-là je suis gâté par mère nature. Il est plus court que celui de Léo, dans les 18 cm, mais il est très large. Il en impose comme une massue. Il parait lourd et épais. Il a surtout la particularité d’être très dur en érection, pas comme la plupart des mecs qui en ont une grosse. Léo est maintenant derrière moi, il me rince le dos. Il se plaque contre mon dos et je sens sa verge gonflée contre mes fesses. Il m’embrasse dans le coup positionne sa bouche juste contre mon oreille. Il me susurre : - J’ai envie de toi. Eh bien, il s’enhardit le garçon ! Je lui réponds que je suis plutôt actif. Il l’ignore et descend le long de mon dos. Il commence à lécher mes fesses, puis sa langue se fait plus insistante le long de ma raie. Il finit par un anulingus très réussi qui me fait lâcher prise. A cet instant, j’ai une terrible envie qu’il me prenne. J’ai envie de sentir sa virilité en moi, qu’il me possède. Je veux être le réceptacle de sa jouissance virile. Il le sent et ne tarde pas à remonter le long de mon dos. Il commence par ...
... m’introduire un doigt, puis deux. J’apprécie le soin qu’il prend pour préparer mon trou à recevoir son gros calibre. J’en suis anxieux d’ailleurs car j’en ai que peu l’habitude. Mais j’y pense, comment connait-il tout ça ? Où a-t-il appris tout ce qu’il sait ? Il a retiré ses doigts et plaque son pubis contre mes fesses, son sexe passant entre mes jambes. Puis, petit à petit, il frotte son gland dans ma raie pour trouver le portail magique. Naturellement, il s’emboite dans l’entrée de l’orifice dilaté. Par une légère pression des hanches, il le pousse à l’intérieur, très lentement, sans a coup. La sensation est superbe. Jamais je n’aurais pensé en arriver là un jour. La dernière fois qu’un mec m’a pris, ça remonte à plusieurs années. Un hétéro super viril qui voulait essayer avec un mec. J’avais craqué devant l’excitation de la situation. Mais j’avais regretté ensuite, car j’avais eu mal. Léo, lui, est très doux. Mais quand sa verge me perfore au trois quart, je dois dire que ce commence à faire beaucoup. Je n’ai pas mal, mais la sensation devient désagréable, irritante. Il s’arrête et couvre mon cou de baisers, me mordillant au passage le lobe des oreilles. Cette diversion permet à mon fondement de se dilater davantage. La sensation désagréable s’estompe. Il reprend sa course et me pénètre jusqu’à la garde. Je me sens comme rempli, empalé par son attribut. Je défaille presque. Il commence de petits mouvements de va et vient. C’est de plus en plus agréable. Mon sexe, qui pendant la ...