Les deux pestes
Datte: 02/07/2018,
Catégories:
ffh,
jeunes,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
strip,
Oral
pénétratio,
hdanus,
jeu,
vengeance,
... croyais pas mes yeux. Elle était presque nue, ne gardant plus que son soutien-gorge. — Tu aimes ?— Oui, Mademoiselle Élodie, dis-je en tremblant, d’une voix mal assurée.— C’est quand même mieux que de mater le string des filles au labo, non ?— Oui, Mademoiselle Élodie.— Et tu crois que je ne te voyais pas faire, gros vicieux ?— Je m’excuse, Mademoiselle Élodie.— Ça te faisait quoi ? Dis-nous un peu, pour voir.— Ça m’excitait, Mademoiselle Élodie.— CONTINUE ! dit-elle en élevant la voix. Je ne vais quand même pas être obligée de t’arracher les vers du nez ? Et elle m’attrapa les testicules avec une main en tirant vers le haut, me forçant ainsi à me lever. — Tu racontes tout, sans rien nous cacher, c’est un ordre. Compris ? Mets donc les mains sur la tête quand je t’interroge.— Compris, Mademoiselle Élodie. J’y repensais après, quand vous n’étiez plus là.— Et puis ? Je ne savais pas quoi répondre, cela devenait trop intime. Elle serra de plus en plus ses doigts, jusqu’à ce que je reprenne ma confession. — J’y pensais le soir chez moi dans mon lit… et je me masturbais en imaginant que vous vous déshabilliez devant moi… Je l’ai fait souvent… tous les soirs au début… Des fois, j’imaginais que je vous faisais l’amour aussi… Ma voix tremblait de plus en plus, je ne pouvais plus contenir mon émotion. — Ben voyons ! Et pourquoi pas à trois avec Anne-So, pendant que tu y es ! Je suis sûre que tu y as déjà pensé, n’est-ce pas ?— Oui, Mademoiselle Élodie. Silence. Sa main se referma de ...
... nouveau. Je repris : — J’aimais bien imaginer que vous faisiez l’amour toutes les deux devant moi.— Et on faisait comment ? Dis-moi pour voir. Ses questions devenaient vraiment gênantes. C’était encore pire que d’être à poil. Mais cette folle était capable de me broyer les testicules si je ne parlais pas. — D’abord, vous vous embrassiez… Puis vous vous caressiez… À chaque fois que je terminais une phrase, elle serrait le poing jusqu’à ce que je reprenne. — Vous vous caressiez partout… Puis vous vous masturbiez… Vous vous pénétriez avec les doigts.— AH, ÇA SUFFIT ! s’écria Anne-Sophie. C’est dégoûtant d’entendre des choses pareilles ! Ce gars ne pense qu’à ça. C’est un véritable obsédé !— Oui, tu as raison, renchérit Élodie, l’air grave. Quand je pense qu’on a travaillé dans la même pièce que lui, nous, des filles innocentes, sans défense, à côté de ce pervers ! Alors celle-là, c’était la meilleure ! Depuis tout à l’heure, ces deux espèces de détraquées me forçaient à assouvir leurs pires fantasmes, et c’est moi qui passais pour un délinquant sexuel ! Dans d’autres circonstances, je crois que j’en aurais éclaté de rire. Élodie me regarda droit dans les yeux en recommençant à serrer sa main. — Est-ce que tu regrettes, au moins ?— Oui, Mademoiselle Élodie. Je m’excuse, Mademoiselle Élodie. La pression devenait difficile à supporter. J’avais vraiment mal et commençais à me tortiller de douleur, la suppliant du regard, mais elle restait impassible. Plus je grimaçais et plus elle ...