1. Les deux pestes


    Datte: 02/07/2018, Catégories: ffh, jeunes, fdomine, humilié(e), chantage, strip, Oral pénétratio, hdanus, jeu, vengeance,

    ... événements et je sentais bien que je n’allais plus pouvoir maîtriser longtemps la situation. J’étais déjà assez humilié comme ça, si en plus je me mettais à bander ! Élodie s’assit au bord du lit et me tendit une jambe. — Retire mes bottes. Je m’accroupis, profitant de cette opportunité pour tenter de masquer ma nudité. Elle était habillée tout en noir, avec de grandes bottes à lacets qui laissaient voir de magnifiques bas sous une petite robe tenue par un gros ceinturon argenté. Superbe, mais pas vraiment le moment pour faire attention à ce genre de détail. Je pris un maximum de temps pour délier et ôter ses bottes, redoutant l’instant où je devrais me relever. Peine perdue. Une fois ses jambes libérées, elle posa ses pieds sur mes épaules, puis les descendit lentement sur mes pectoraux pour venir frotter le tissu de ses bas sur mes mamelons. L’effet fut immédiat et je vis ses yeux prendre un air gourmand, alors que ma queue se mettait à pencher lourdement sur le côté. — Tu vois, dit-elle, il peut y arriver, quand on l’aide un peu. Anne-Sophie était absorbée par ses catalogues. Elle me regarda à peine : — Pour le même prix, on a une semaine à Agadir ! Élodie continua, un sourire sadique aux lèvres, et fit glisser un pied sur mon ventre, avant de l’insinuer entre mes cuisses qu’elle écarta sans ménagement. — Maintenant, debout. Et elle joignit le geste à la parole, repoussant avec ses orteils mes testicules vers le haut. Je dus me relever, tout honteux, à moitié ...
    ... recroquevillé sur moi-même, essayant de cacher ce début d’érection avec les mains. — Ça rime à quoi, cette tenue ? Comporte-toi un peu en mec ! Les mains dans le dos ! Tiens-toi bien droit ! Et écarte les jambes, qu’on en profite ! Pour un garçon aussi pudique que moi, devoir s’exhiber de la sorte était insupportable et j’avais une envie irrésistible de la claquer très fort. Il fallait vraiment que je n’aie pas le choix, pour supporter une pareille humiliation. Si mon sexe avait durci, il pendait encore vers le bas et j’espérais pouvoir en rester là. Mais Élodie ne l’entendait pas ainsi : — C’est mou tout ça, je suis sûre que tu peux bander bien plus fort. Tiens, allez, pour t’aider, je vais me déshabiller un peu. Et alors que j’étais debout devant elle, tout nu, elle retira doucement ses collants, me dévoilant des jambes de rêve. Je n’en croyais pas mes yeux et sentis, sans rien pouvoir faire, que ma queue se redressait inexorablement, passant par l’horizontale pour venir pointer vers le ciel, raide comme un pieu, gonflée comme jamais. Les deux filles éclatèrent de rire en me regardant durcir devant elles. Je fermai les yeux, attendant la fin de mon calvaire. Malheureusement, tout cela n’était rien à comparer de ce qui m’attendait. Élodie m’ordonna ensuite de me rapprocher puis elle se pencha en arrière sur le lit, prenant appui sur ses coudes. Elle m’enserra très adroitement le sexe avec ses deux pieds et, lentement, me décalotta, repoussant au maximum mon prépuce, découvrant un gland ...
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