Trop poilue
Datte: 02/07/2018,
Catégories:
fh,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Depuis toujours, je me trouvais trop "poilue ". C’est un problème que rencontrent souvent les filles très brunes, mais pour moi, cela prenait des proportions catastrophiques. En effet, je suis dotée d’un système pileux surabondant. Au niveau des aisselles, j’ai une véritable forêt de poils, autour des mamelons, je suis obligée de m’épiler, et je possède une toison pubienne si fournie qu’elle dépasse largement sur mes cuisses et qu’elle remonte dans la raie de mes fesses, masquant en partie mon anus. Par chance, je n’ai pas de moustache, mais pendant longtemps, j’ai pensé que j’étais anormale, sûrement à cause d’un dérèglement hormonal. Je ne voulais pas me raser entre les jambes ou derrière, ni m’épiler par peur de voir mes poils repousser encore plus abondamment, si bien que je n’allais jamais sur une plage, je ne me mettais jamais en maillot devant mes copains et copines et je souffrais terriblement de cette abondante et disgracieuse pilosité. Mais en même temps, j’avais envie d’avoir des relations avec des hommes. Pour le reste, je me trouvais assez jolie et très féminine. J’étais fière de mes seins et de mes formes. De plus, j’étais souvent excitée et bourrée de fantasmes, dont certains assez crus. À l’âge de 18, 19 ans, je me masturbais pratiquement tous les jours. J’avais des petits copains, mais je n’allais jamais jusqu’au bout, honteuse de devoir retirer ma culotte devant eux. Un jour, je me suis quand même rasée. J’avais trop envie de connaître le plaisir de faire ...
... l’amour avec un homme, celui aussi de ne plus être vierge. J’ai rasé les poils entre mes fesses, ceux qui remontaient trop haut sur mon pubis ainsi que ceux qui couvraient le pli de l’aine et le haut de mes cuisses. J’ai essayé de me dessiner un beau sexe en triangle et même si la touffe était encore très fournie, je n’étais pas mécontente du résultat. Cela m’a permis d’avoir mes premiers rapports sexuels et, par la suite, j’ai continué de tricher et de me raser chaque fois que je devais faire l’amour. Mais les poils repoussaient très vite. J’avais la sensation qu’ils étaient encore plus durs. C’était désagréable, surtout entre les fesses. Cela me faisait comme des démangeaisons permanentes. A cause de tout cela et jusqu’à 26 ans, j’ai eu une sexualité peu conforme à mes désirs et à mon tempérament. Il y a quelques semaines, en lisant un journal gratuit de ma région, je suis tombée par hasard sur une annonce qui a tout de suite retenu mon attention. Un photographe professionnel recherchait des modèles de femmes dotées d’un sexe très velu en vue d’une prochaine exposition sur ce thème. Je l’ai appelé, plus par curiosité que dans le but de poser pour lui. Sa voix m’a plu et je me suis laissée convaincre. Une chose m’avait décidée : mon visage n’apparaîtrait pas sur les photos. Deux jours plus tard, je faisais la connaissance du photographe. Il s’appelait Jean-Paul, il avait 42 ans. C’était un bel homme et je me suis rapidement sentie en confiance avec lui. Il m’a montré quelques ...