1. Marie retrouve Georges, un vieux pas si vieux que ça (2)


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Zoophilie,

    LA SALOPE A demi cachée derrière la porte entrouverte, j’ai regardé Georges s’éloigner jusqu’à ce qu’il disparaisse au coin de la rue . Sussucre en avait profité pour rentrer. Il plaquait le museau entre mes cuisses, sous mes fesses, humant à pleins poumons les odeurs qui émanaient de moi, semblait très excité . Son souffle chaud contre mes fesses m’a faite frissonner. Et quand sa langue s’est activée, je me suis accrochée à la poignée pour ne pas tomber. J’ai réussi à refermer la porte, mes jambes ployaient sous mon poids, m’obligeant à m’appuyer contre elle, penchée en avant. Sussucre me léchait avec application, fouillant ma raie, remontant jusqu’à mon petit trou qui frémissait de bonheur. Je me suis retournée pour lui caresser la tête, lui parler doucement, le calmer ... Mais rien n’y faisait . Avait il deviné ce qui s’était passé plus tôt ? Il poussait sa tête entre mes cuisses, irrésistiblement attiré par l’humidité qui les poissait, goutant avec avidité le jus d’amour qui les imprégnait. Son odorat si fin avait dû le renseigner sur mon état de femme comblée par son amant. J’essayais de le repousser, mais, solidement ancré sur ses pattes, il résistait en grondant. Il ignorait mes caresses, mes mots doux, et déjà, sous son ventre, son fourreau avait grossi, tressautant nerveusement, laissant apparaître sa petite flèche rouge . D’un geste brusque, il m’a repoussé en arrière...... Je suis tombée sur les fesses, entrouvrant involontairement mes jambes, lui donnant accès au ...
    ... trésor qu’il convoitait. Il a enfoncé sa tête entre mes cuisses, la tournant en tous sens, pour atteindre la source de ce nectar qu’il aimait tant, tandis que je restais là, incapable de lui résister. Et quand sa langue a effleuré mon bouton d’amour, encore sensible des caresses qu’il avait reçu, j’ai laissé échapper un gémissement de bonheur. Presque malgré moi, je me suis ouverte, me livrant entièrement à ses caresses. Tout mon corps tremblait du plaisir que j’éprouvais. Tellement différent de ce que j’avais ressenti avec Georges, mais c’était si bon !! Comme à chaque fois qu’il manifestait le désir de me prendre, j’étais saisie d’une frénésie incontrôlable, oubliant toute honte, toute pudeur, incapable de lui résister. J’étais devenue une femelle en chaleur qui avait besoin d’ être prise par un mâle vigoureux et dominateur, qui s’offrait, le réclamait en gémissant ! Le sentir me chevaucher, se montrer maladroit, trouver enfin l’entrée de ma petite grotte, me prendre de toutes ses forces, trembler sous ses coups de reins, le sentir grossir, m’investir, me remplir comme lui seul savait le faire, racler mon clito à me faire crier, haleter au même rythme que lui, et enfin sentir ses jets puissants, abondants, tout au fond de moi ......., j’aimais ça, j’aimais ça, .... à la folie ! Et j’en avais envie, j’en avais envie !!! Oubliées les caresses de Georges, ses mots doux, ses gestes tendres, .... J’ai réussi à murmurer : pousses toi, puis à me retourner, a genoux, lui présentant ...
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