1. Sur la plage


    Datte: 03/07/2018, Catégories: fh, vacances, plage, pénétratio, fsodo, totalsexe,

    Ils partirent tous les deux dans un grand éclat de rire qui finit dans un nouveau baiser. Allongée sur le dos, et désormais en monokini, Audrey se laissait peu à peu aller avec Damien qui se penchait sur elle, toujours aussi tendre et attentionné. Elle sentait tour à tour sur ses seins, sur ses cuisses ou sur son ventre la chaleur du soleil déclinant, une brise tiède et légère, ou les doigts de son amant qui l’effleuraient avec toujours autant de délice. Il l’entraînait avec beaucoup de savoir-faire vers sur des terrains inconnus sur lesquels, à sa grande surprise, elle se sentait parfaitement à l’aise. La plage était, certes, presque déserte mais bon, de là à s’abandonner de la sorte… Ça ne lui était jamais arrivé et elle ne l’aurait même pas envisagé. Alors que dans les bras de Damien, elle faisait totalement abstraction du contexte et continuait à s’offrir avec naturel qui tenait à la fois de l’innocence la plus pure et de l’indécence la plus éhontée. Par ses soupirs, ses gémissements, son langage corporel, elle guidait Damien dans ses caresses, sans qu’elle ait besoin de lui dire quoi que ce soit. Il appréciait la fermeté et la souplesse de ses seins sous ses mains, qu’il trouvait particulièrement ravissants sous la lumière tamisée du soleil couchant. La peau prenait des teintes cuivrées, transformant Audrey en princesse orientale se prélassant dans une oasis du désert. Le rubis de ses tétons prenait, lui, une teinte encore plus intense, comme des braises sur le point ...
    ... de s’embraser. Elle savourait la douceur de ses doigts, mais au moins autant celle de son regard. En pleine lumière, et malgré les courts, fréquents instants de perte de lucidité que Damien provoquait dans son esprit, elle parvenait à mieux étudier son comportement que l’autre nuit. Elle ne décelait aucune trace de lubricité dans son regard, juste un subtil mélange entre une infinie tendresse et un désir violent et furieux. Elle n’éprouvait donc aucune gêne à offrir à son amant le spectacle du désir que ses seins exprimaient. Il s’amusait à la regarder, droit dans les yeux, à chaque fois qu’il se saisissait d’un téton, entre pouce et index, pour le faire délicatement rouler entre ses doigts, et si elle sentait le plaisir la consumer, c’était au moins autant par la dextérité de cette stimulation que par l’intensité du regard qui la transperçait de part en part. Elle se voyait contrainte de céder, systématiquement, et finissait par fermer les yeux ou détourner la vue. Elle frissonna par avance lorsqu’elle vit sa tête se pencher sur son buste. Elle savait ce qui allait suivre, et le désirait autant qu’elle le craignait. Combien de temps encore allait-elle pouvoir rester lucide ? Combien de temps encore avant de perdre définitivement la tête et de le supplier de la prendre sur le champ ? Combien de temps encore avant de perdre toute retenue ? Sa langue dessinait de savantes arabesques sur sa peau, sensible et réceptive à l’extrême, qui finissaient toujours sur les sommets de tous ...
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