1. Fille au pair (chapitre 6/6)


    Datte: 03/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... chauds, je l’invite à palper mes seins, à prendre un téton entre ses doigts pour le faire rouler alors qu’il prend l’autre en bouche pour le mordiller. Je lui montre combien ces caresses font dresser et sortir mes tétons qui, à force d’être sucés et triturés par les uns et les autres, ont désormais la taille d’un poids chiche et sont devenus de plus en plus sensibles. En prenant sa main droite, je la fait glisser le long de mon corps jusqu’à mes hanche puis dans la fourche de mes cuisses où Felipe peut constater combien je suis déjà toute humide d’excitation. Je masturbe doucement son beau membre : il a bien grossi depuis que Monica en a fait la sculpture qui est dans son atelier et que je l’ai sucé en secret pour l’anniversaire précédent. C’est vrai aussi que les deux jumeaux sont désormais deux jeunes hommes à la silhouette avantageuse, presque 1 m 80, une musculature déliée à peine dessinée, des cheveux bruns mi longs et des yeux d’un marron foncé qui brillent de malice. Je dois faire attention à ne pas aller trop vite aussi, je m’allonge sur mon lit, les cuisses grandes ouvertes, prenant soin de bien dégager mon pubis et les lèvres ourlées que j’écarte à deux mains pour faire découvrir mon intimité à Felipe. Je lui montre mon clitoris et son capuchon en lui expliquant que chez moi, c’est le point le plus sensible de mon appareil génital. J’explique que c’est justement en le faisant rouler sous mes doigts que j’ai le plus de plaisir et que chaque fois qu’un de mes amants ...
    ... me fait un cunnilingus, cela me fait jouir autant que si j’avais un sexe en moi. Felipe se penche pour regarder au plus près et je sens son souffle chaud sur ma vulve : - Embrasse-moi et fais rouler mon clitoris sous ta langue. C’est un peu la même caresse que lorsqu’une femme fait une fellation. D’ailleurs quand on fait un 6 9, chacun embrasse et suce le sexe de l’autre. Ma cyprine ruissèle littéralement au point que je la sens mouiller le haut de mes cuisses et ma raie culière. Je m’ouvre de plus en plus et, prenant en main la bite de Felipe, je la place à l’entrée de mon vagin. Dès que je sens le gland entre les lèvres intimes, je plaque mes mains sur les fesses de mon amant pour introduire son sexe dans le mien. Je le maintiens ainsi quelques temps avant de faire basculer mon bassin pour amorcer le coït et régler l’allure car je crains fort que ce jeune étalon prenne le mors aux dents et éjacule trop rapidement. Effectivement, il se comporte comme un cheval fougueux, il me donne de violents coups de reins qui font claquer nos pubis l’un contre l’autre et je m’efforce de contenir cette énergie juvénile. Mais bientôt, excitée par cette situation dans laquelle on me demande de déniaiser les jumeaux de la maison et le bien fou que me fait endurer cette jeune bite qui coulisse en moi de plus en plus vite, je sens une jouissance qui part du plus profond de moi-même, déferler dans mon ventre. Il n’est plus temps de freiner les ardeurs de Felipe bien au contraire, je le sens aussi ...
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