1. Descente aux enfers


    Datte: 03/07/2018, Catégories: fh, voisins, grossexe, grosseins, poilu(e)s, fsoumise, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fsodo, scato, confession,

    ... veste. Le string assortit puis ma jupe qui moulait tellement mon gros fessier qu’on voyait la marque du string. Que faire ? Ne pas en mettre. Je n’étais pas prête pour ça à l’époque, plutôt paraître ridicule. Je me rends compte que j’ai sans doute eu tort et que j’aurais dû m’en passer. Bref ! Je suis arrivée au rendez-vous. Un homme d’une cinquantaine d’années m’a reçue très gentiment et l’entretien c’est plutôt bien passé. Plus de nouvelles pendant trois mois malgré mes relances. Nouvelle déprime. Mon compte en banque fondait à vue d’œil. Un jour, un coup de fil pour me rencontrer à nouveau. Il m’a proposé d’aller chez lui. J’ai accepté comme une conne, je me suis laissée faire, il m’a baisée. Mal. Je n’ai pas eu le poste. C’est la première fois que je refaisais l’amour depuis un an. Effet désastreux ! Ma libido était anéantie. Mes nouveaux voisins, un couple d’émigrés polonais que j’entendais gémir de temps en temps au travers de la cloison de nos chambres qui sont juxtaposées, m’agaçaient à m’empêcher de dormir. Surtout elle ! Je me demandais ce qu’il pouvait bien lui faire pour qu’elle gueule comme ça. Je ne pouvais plus la voir, cette grande saucisse plate comme une limande, au teint blafard et à l’accent prononcé. Je la détestais de faire tant de raffut pour si peu, il était, pour moi, inconcevable, qu’on puisse prendre un plaisir aussi bruyant. Ça ne pouvait-être que du cinéma. Six heures du matin ! Comme tous les matins, c’est ce vieil aspirateur poussif qui fait un ...
    ... bruit de turbine d’avion de chasse qui me réveille. Six heures du mat… Sans rire, ce n’est pas une heure pour se réveiller. Surtout quand on est au chômage. Ils se lèvent tous les jours à la même heure. J’imagine déjà le café chaud de Beledni posé sur la table basse de leur petite salle à manger pendant qu’il regarde la télé confortablement assis sur son fauteuil, et sa femme passant l’aspirateur. Ça fait un boucan terrible ! Les autres voisins ne disent rien et moi la première ! Il faut dire que Beledni est un peu la terreur du quartier. Mais qu’est-ce qu’ils peuvent bien foutre ? Elle n’en finit pas ce matin ! Je suis sous la couette, elle-même remontée jusqu’aux oreilles, la tête sous l’oreiller, mais rien y fait ! Je ne peux me détacher de ce putain d’aspirateur de merde. Puis soudain un bruit de dispute, des cris ou des pleurs. L’aspirateur tourne toujours mais d’après le vrombissement, il doit être maintenant immobile. Nos appartements forment un angle, pratique pour voir chez les autres et être vu. Depuis la fenêtre de la cuisine, là où je me prépare mon café soluble – c’est moins cher que du vrai et je me suis promis d’acheter du VRAI café dès que j’aurais ENFIN un travail – je vois les deux voisins se disputer une énième fois, Beledni ne fait pas dans la dentelle, il aboie sur sa femme et celle-ci accepte, tête baissée. Bis repetita… J’allume la télé… et merde encore des parasites… Je dois avoir un problème de raccordement à l’antenne, mais je n’y comprends vraiment ...
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