1. Le copain de mon frère


    Datte: 04/07/2018, Catégories: hh, jeunes, rousseurs, voisins, copains, vacances, collection, volupté, Oral hdanus, hsodo,

    On sonna à la porte. Le chien aboya bruyamment. Je pris sa laisse sur la table de salle à manger. J’ouvris à Alban, un copain de mon frère que j’avais chargé de sortir Buffalo, un gros bâtard berger allemand-on-ne sait-pas quoi de 5 ans. Mes parents étaient en vacances en Italie tandis que mon frère et la famille de sa copine étaient partis en Espagne. Moi je travaillais de nuit dans une station service. J’étais chargé de m’occuper de la ménagerie composée du chien de la copine, de notre chat et d’un lapin. De plus, il me fallait arroser régulièrement une jungle de plantes. Sortir le chien était une corvée, c’est pourquoi, j’avais demandé à Alban de s’en occuper. Nous nous serrâmes la main et je lui tendis la laisse. Le chien fut comme fou et aboya tout autour de nous. Alban lui attacha la laisse et m’en débarrassa en faisant un tour pendant une petite heure. Nous étions le week-end et j’avais du mal à reprendre temporairement un rythme normal. Mon collègue m’avait dit qu’il fallait trois ou quatre mois pour s’habituer à ce régime mais ce n’était qu’un job de vacances, et je sentais que j’allais être complètement lessivé à la rentrée universitaire, dans un mois et demi. J’appréciais de rester seul pendant plus de 3 semaines. Après mon retour de ma première année de fac, les premiers jours d’euphorie passés, ma famille, m’insupportait déjà. Heureusement que je travaillais et maintenant je goûtais à nouveau à la solitude retrouvée. Alban revint avec le chien qui se jeta sur ...
    ... sa gamelle d’eau puis sur sa nourriture, ne prêtant même pas attention au chat qui doubla de volume et qui cracha. Ce jour-là, à ce moment-là, il avait décidé de détester l’intrus. Alban s’affala sur le canapé. Il avait 18 ans. Il était maigre, assez petit, la peau couverte de tâches de rousseurs, les cheveux tirant sur le roux, les yeux verts. Il avait la beauté de la jeunesse. Il venait de louper son bac. Cet été, il ne travaillait pas et occupait ses mornes journées de vacances à réparer des mobylettes ou à regarder la télé. Je lui proposai un coca et je m’assis par terre, appuyé sur une chauffeuse alors qu’Alban s’allongea sur le canapé en prenant ses aises. Nous regardâmes la télé, la chaleur et la fatigue m’interdisant tout autre activité. Alban sirota son coca qu’il reposa sur la table du salon, une fois terminé. Alors que je tentais de me passionner sur la survie probable du héros dans une mauvaise posture, je sentis qu’on me caressait le genou. Je contemplai avec stupéfaction la main gauche d’Alban posée sur mon genou le caressant légèrement. Je le regardai et il me lança un charmant sourire. Je m’exclamai in petto : « Alban, pédé ? Non !? ». « A quoi joue-t-il ?» me demandai-je dans la foulée. Etait-ce un test ? Ou une provocation d’hétéro ? Je le laissai faire son manège, décidant d’attendre la suite des événements. Il continua à masser mon genou et sa main glissa sur ma cuisse. Je sentis une petite décharge électrique sur le gland et ma verge commença à gonfler. À ...
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