1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°896)


    Datte: 04/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Le pensionnat, propriété du Marquis – (suite de l'épisode précédent N°895) - La vie poursuivait inexorablement sont cours au château. Les journées et les semaines étaient cadencées, tel un métronome. Chaque matin, Myna devait se rendre dans la chambre du Maître avant son levé. Chaque matin, la chambre était vide. Le Marquis d’Evans partageant ses nuits entre sa favorite, Laetitia, qui était rapidement tombée enceinte, et son compagnon David. Chaque matin, il arrivait dans ses appartements, vêtu simplement d’un pantalon d’intérieur. Chaque matin, elle sentait leur odeur sur lui, et elle en concevait une grande jalousie. Car malgré ses efforts pour lui plaire, il n’avait pas daigné la déflorer. A tel point qu’elle en était devenue la risée de ses consœurs. Chaque matin, elle devait lui servir son petit déjeuner, comme il le lui avait appris lors de la ‘semi-libération’ de sa favorite. Ensuite il l’allongeait sur ses genoux. Il sentait son sexe lisse à travers la toile de son pantalon contre sa cuisse. Ses doigts et ses yeux se posaient sur les marques laissées par les fessées matinales et les punitions qu’elle recevait. Le Maître ne parlait pas, se contentant de caresser les deux globes qui avaient bien souffert. Il sentait ses fesses se contracter dans la prévision des claques à venir. Et puis ses larges mains s’abattaient sur son derrière, inexorablement, faisant de grands bruits. Lorsqu’il avait fini, Myna était en pleurs. Il la faisait alors s’agenouiller et tandis qu’il ...
    ... allait se doucher. En sortant, elle devait le sécher soigneusement et l’habiller. En général, Monsieur David arrivait sur ces entrefaites. Ils partaient ensemble à leurs occupations, sans plus un regard pour la jeune esclave. Monsieur le Marquis n’avait en réalité aucunement besoin de travailler, mais le ‘’métier’’ qu’il avait choisi lui plaisait et lui permettait de rencontrer énormément de gens et de tenir son carnet d’adresse à jour. Les journées étaient ensuite rythmées par différents cours. Monsieur le Marquis tenait à ce que tous ses esclaves reçoivent une éducation complémentaire à leurs études acquises depuis l’enfance. Ils recevaient des cours de danse, de musique, de littérature, etc. Ils étaient également éduqués à l’art de satisfaire les plaisirs des Maîtres et Maîtresses auxquels ils pourraient avoir à faire durant leurs années de servitude au Marquis Edouard d’Evans. Le sport aussi faisait partie intégrante de leur programme. Deux heures minimum, trois fois par semaine. Une fois par semaine, le médecin venait visiter tous les esclaves, afin de s’assurer qu’ils étaient tous en bonne santé. Les journées étaient ponctuées par les soins et/ou les punitions administrées par les valets. En bref, les jours étaient bien remplis. Chaque soir, tous les esclaves qui n’étaient pas déjà entravés dans les couloirs, devaient se trouver dans le hall d’entrée. A genoux, assis sur leurs talons, genoux écartés, mains posées sur les cuisses, paumes vers le haut. Les mâles d’un côté, ...
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