Un soir en discothèque.
Datte: 04/07/2018,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... discothèque, j’ai hésité un peu, vu ma mésaventure de ce matin, je n’aimerais pas me retrouver dans la même situation mais j’ai dis, ok, on y va, sans trop savoir pourquoi. On y entre cette fois-ci par la porte de l’hôtel qui donne directement au sous-sol la femme connait celui qui s’occupe des entrées à la discothèque, Wolfgang, c’est son prénom donc nous voilà de nouveau au Dadeldo, la salle n’était pas encore pleine, j’ai compté à peine une vingtaine de personnes, entre filles et garçons mais au fur et mesure que le temps passe, la discothèque devenait exigüe ; sur la piste de danse, les corps des danseurs se touchaient presque. On s’était installés à une table pour deux personnes, le serveur-videur, un grand gaillard de presque deux mètres, est venu prendre nos commandes, après quelques minutes il revient avec un seau de glace, des verres et une bouteille de Sekt (champagne), il débouche la bouteille et il sert en premier la femme, puis moi, juste le temps de vider nos verres et il est de retour avec deux plats, nous avions diné et but quelques verres, après ...
... quoi, je l’ai invité à danser (darf ich biten ?) ai-je dis à la femme, ja, gern (oui, volontiers) dit-elle.Sur la piste de danse, je la sentais collée à moi, comme si nos corps ne font qu’un, elle jouait de ses cuisses entre les miennes, son bas-ventre collé au mien, tout en me serrant d’une main par les fesses contre elle, tout son corps était en feu, comme un volcan en ébullition, j’étais tellement excité que j’ai mis ma main à ses fesses et je l’ai serré à mon tour contre moi, nous voilà soudés l’un à l’autre, si ce n’était la musique qui s’est arrêtée pour une brève pause, on aurait jouit en pleine piste. Retour à notre table, je voulais aller m’acheter des cigarettes, elle me demanda de me rasseoir, c’était elle qui m’avait acheté les cigarettes et de sa poche, mêmes nos consommations, elle ne voulait pas que je les paye, de cette façon, elle voulait me garder pour elle et tout payer elle-même, comme si j’étais un objet de plaisir et c’est ce qu’elle désirait, m’avoir à sa merci, rien que pour son plaisir.(Histoire véridique). (Les dialogues étaient en allemand)