ce coquin de propriétaire ! (2)
Datte: 05/07/2018,
Catégories:
Erotique,
... mon gilet et en me dirigeant vers ma chambre. Voulais-je réellement lire, ou laisser ma main revivre ce qu’elle m’avait offert cette nuit en pensant à notre propriétaire. - Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Je suis complétement folle ! Je m’oblige à vider mon cerveau et commence à avancer vers mon lit, quand soudain, on frappa à la porte. - Bonjour, j’ai vu que vous étiez réveillée. Marc se tenait debout devant moi un paquet à la main. - Je vous ai apporté des croissants, vous aimez cela ? - Heu, merci… Dis-je sans savoir quoi répondre. Il me donna le paquet et s’avança pour entrer. - Nous pourrions les déguster ensemble… Ne sachant comment refuser, je l’ai laissé entrer. Enfin, la bonne formulation serait plutôt que je n’ai rien fait pour l’empêcher de pénétrer dans la maison, car il s’avança sans me demander quoi que ce soit. Il m’expliqua ensuite qu’il avait entendu du bruit et nous avait aperçu de la fenêtre. - J’ai vu votre copain partir et que vous étiez réveillée… - Désolé de vous avoir réveillé. - Non, non, vous ne m’avez pas réveillé, en fait, je revenais du boulanger, j’avais prévu de vous acheter des croissants pour ce matin, car je me suis dit que vous n’aviez certainement pas prévu avec le déménagement d’acheter ce qu’il faut pour votre petit-déjeuner, je savais que vous n’aviez pas cours, mais je croyais que votre copain ne travaillait pas le lundi. - Heu, effectivement, normalement il ne travaille pas le lundi, mais il fait des heures supplémentaires. - Et ...
... bien pas de chance pour lui. Dit-il en me souriant. - Mais bon, cela n’est pas perdu pour tout le monde. Il ria et je me demandais s’il parlait des croissants ou d’autre chose. Cet homme pourrait être mon grand-père et je suis certaine que j’interprète mal ses intentions. N’avait-il pas prévu les croissants pour Loïc et moi ? Il est resté pour les manger avec moi uniquement parce que les gens de sa génération n’aiment pas gaspiller et il en avait apporté pour deux personnes, il prendrait simplement la part de Loïc. « La part de Loïc… » Cette dernière pensée le troubla sans que je puisse en expliquer la raison. Perturbée par mes rêveries, je n’ai pas remarqué qu’il s’était dirigé vers le radiateur. - Il fait un peu frais ici. A-t-il ensuite affirmé en remontant le chauffage. Sa phrase me fit sursauter et revenir à la surface. Il me regarda en souriant et me fit un petit clin d’œil… - Désolé je suis frileux. Il était debout pas très loin de moi et ses yeux se dirigeaient vers mes jambes sans chercher à se cacher. C’est à ce moment-là que j’ai pris conscience que je n’étais habillée que de ma seule nuisette. Quand on a frappé à la porte, j’ai cru que Loïc avait oublié quelque chose et j’ai donc été ouvrir sans me couvrir. Puis, surprise de voir mon propriétaire si tôt, j’ai oublié la tenue que je portais à ce moment-là. Son regard me montra que lui, il ne l’avait pas oublié et il n’en manquait pas une miette. Le vêtement ne couvre pas grand-chose, il est en tulle noir et plutôt ...