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mes oncles, mon père... (3)
Datte: 05/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... chauffeur est aux anges. Il mate sans vergogne dans le rétroviseur les doigts de mon père qui s’enfoncent loin en moi et qu’il offre à ma bouche pour que je les suce ensuite. Quand je prononce "papa", le chauffeur manque de se prendre un trottoir. Puis on s’arrête devant un long entrepôt. Papa semble savoir où il va. Il paye le taxi qui s’éloigne à regret puis on entre directement par une petite porte de service. On arrive tout de suite dans un vaste local ou une dizaine de secrétaires s’affairent devant des ordinateurs, le téléphone à la main. Ce brouhaha nous brasse. Un homme à l’autre bout de la salle nous fait signe en souriant de le rejoindre. Il nous accueille en riant. Il salue mon père avec des grandes embrassades. Papa me présente ensuite. l’homme me serre la main, ravi. Il a la cinquantaine, jovial et grand, il me fait penser aux joueurs de basket de la NBA. La démarche nonchalante mais le geste vif… on le suit dans un grand dédale de couloirs. Puis on descend des escaliers sombres qui nous mènent à une sorte d’immense cave où sont entreposés des cartons emballés sur des palettes. Des centaines, des milliers de cartons. Papa est content de ce spectacle. On ne voit pas le fond du bâtiment tant le plafond est bas et surtout, la salle mal éclairée. On me dit que c’est pour préserver les denrées qui sèchent dans ces conditionnements. Papa et l’homme, Omar, discutent des affaires, de la vie en général. Apparemment, papa n’a rien à négocier ici, il s’agit juste de la ...
... marchandise déjà achetée auparavant et dont il vient "prendre" des nouvelles pour la livraison proche… Puis Omar me regarde… — Alors voilà la jolie Lola. Votre père me dit à chaque fois que l’on se voit tellement de belles choses à votre sujet. — Merci Monsieur… Je ne sais pas sur quel pied danser. Je pense que papa ne mélange pas le sexe et le boulot. Mais… — Tu as envie de voir ma grosse queue, petite pute ? — Oui Monsieur… — Fous-toi à poil, et va au fond… J’obéis. Papa me regarde fièrement. Omar est subjugué par mon corps qui se dévoile à lui. Une fois nue, il se touche le pantalon. Je repère déjà une énorme bosse dans son caleçon mais j’obéis encore et toute nue, je vais au fond de l’entrepôt. Je les entends parler dans mon dos. Omar dit que je suis parfaite, qu’il est rassuré parce qu’il ne se sent pas lésé par rapport aux négociations passées avec papa. Je marche et je m’enfonce dans une sorte d’obscurité et de moiteur qui me brassent les sens. Il y a à droite et à gauche des allées sombres dont je ne vois même pas les murs du fond. Mes pieds nus marchent dans un peu d’eau. Je tremble d’envie, d’excitation. Les voix dans mon dos sont désormais lointaines. Soudain, je vois assis sur une palette trois hommes en train de me mater. Ils sont torses nus. Du même acabit qu’Omar. Je continue. j’hésite mais aucun ordre ne m’est donné. Les trois hommes me suivent. Ils marchent à un mètre de moi, sans un mot. Puis je vois encoredeux hommes qui attendent devant. Le reste de l’équipe ...