-
mes oncles, mon père... (3)
Datte: 05/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... Ce que préfèrent la plupart de ces mecs, c’est de me prendre quand je suis sur le dos, ma chatte rosée très ouverte, et qu’ils enfoncent leur gourdin noir au fond de blanche-neige… ils adorent baiser de la toutejeune femme blanche que je suis en la traitant de pute dépravée… le matelas devient humide de jus. Ma moule est béante et remplie. Les hommes se vident sans vergogne, il adorent aussi me tenir les seins pendant qu’ils giclent. Je vois soudain la journaliste passer à côté de moi. Elle s’accroupit pour regarder un jeune black jouir en moi. Sa moule à elle, c’est un carpaccio de salope. Des grosses goutte en tombent et s’écrasent au sol dans un bruit mat. — Je peux vous nettoyer la chatte avec ma langue ? J’en ai tellement envie ! Elle hésite, émoustillée, puis elle m’enjambe et elle pose son intimité au dessus de mon visage. Les mouvements de son bassin expulsent des longues giclées de foutre que je reçois dans la gorge. Je me relève pour lui aspirer la moule, j’ai l’impression d’avaler des litres de jus. La salope grogne de plaisir quand ma langue va chercher au fond d’elle la crème qui y est tassée. Le mec qui me baise nous traite de truies. Il en perd son contrôle et il gicle aussitôt en criant son bonheur. La journaliste se redresse ensuite. Elle sourit, harassée mais heureuse. Elle me dit qu’elle va dormir à son hôtel et qu’elle revient demain mais qu’avant tout, elle va se faire enculer par Omar et ses associés. Seule et offerte, je reste les cuisses écartées ...
... encore quatre longues heures avec des pauses que je m’octroie pour boire un peu et détendre mes jambes. ksbkttgf Un mec me dit que je ne suis pas chère pour une blanche aussi magnifique. Je m’en fous de ça , je veux de la bite et du jus en moi. On me baise à la chaîne. Je sens la vigueur de chaque homme qui profite à fond de mon corps de gamine-pute… Il y a des dockers, des habitants du coin et pas mal de soldats qui se vident les couilles dans ma chatte. Vers dix-neuf heures trente, Omar vient me chercher. On discute un peu en retournant vers l’entrée. On ne passe pas par les bureaux des secrétaires mais on entre dans une petite salle ou nous attendent trois types. Omar me demande de me mettre à quatre pattes. j’obtempère et aussitôt il crache sur mon petit trou qu’il force avec son énorme gland. Il m’encule tranquillement tout en discutant avec ses associés. Il leur dit que je suis une bonne chienne et que je rapporte bien plus que prévu avec le contrat passé avec mon père. Il m’encule alors sauvagement, il me fait hurler de douleur et de plaisir puis il tasse sa crème bien au fond de ma boîte à merde. Il se retire et un autre m’encule aussitôt. Il se déchaîne dans ma cheminée brûlante et il me fait jouir du cul. Ils me défoncent tous le trou avec force puis ils le remplissent de leur sperme épais. Je reste le cul ouvert, béant de longues minutes, puis papa arrive. Il rit en me voyant ainsi. — Oh ma fille chérie, mon bébé, quelle pute tu es, une vraie chienne sans pudeur...Ma ...