1. mes oncles, mon père... (3)


    Datte: 05/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... suce. Je le fais et il gicle en peu de temps dans ma bouche. Maman sourit et elle me dit de ne pas avaler, que Léa sera ravie d’avoir un peu de jus en cadeau… je trouve l’idée excellente. On utilise nos manteaux pour ne pas salir les fauteuils et on part. Maman ne parle pas mais elle me regarde avec fierté. Elle glisse ses doigts dans ma chatte, elle le fait plusieurs fois pour ensuite sucer le nectar de la soirée. Je souhaite juste qu’elle en laisse pour ma nana, en plus de ce que je garde précieusement en bouche. Maman m’a laissée devant chez nous et elle est rentrée chez elle. Ma douce Léa dort. Je la réveille en douceur. Elle est heureuse puis elle grimace en sentant l’urine sur moi, le jus de mâles… je lui relève délicatement le menton et elle comprend que je vais lui donner la becquée. Elle ouvre la bouche et je laisse s’écouler le sperme dans sa gorge. Elle gémit de plaisir. Alors je fais comme on fait maintenant, avec elle ou maman… je crache dans sa bouche, elle se gargarise de ce jus épais, mousseux, elle avale...puis elle me viole. Comme prévu, elle attaque mes pieds,elle me lèche les orteils , elle me chatouille puis elle lèche la pisse. Elle enfonce ses doigts dans mon minou, elle est subjuguée par la béance de mes trous. — On dirait le gouffre de Padirac ! Et comme pour s’en convaincre, elle met sa main dans ma chatte ! Elle me fiste ! Je gicle de bonheur… et pour m’achever, sa deuxième main entre de moitié dans mon cul. Là, c’est le paradis… je veux être ...
    ... baisée par une armée ! Je me sens devenir folle de bites, de sexe. Il est déjà loin, le sex-shop. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Afrique, nous voilà ! La chaleur nous prend de façon agressive dés la sortie de l’avion. Un taxi nous emmène rapidement au port autonome de Dakar. Papa y a un rendez-vous dés ce midi pour son boulot. Notre hôtel est tout près de là mais je souhaite rester avec lui pour humer cette ambiance de port que j’aime tant et la comparer avec celle déjà si particulière de notre bonne vieille ville. Un homme nous accueille dés notre arrivée. Il discute beaucoup avec papa de nouvelles normes, de fret, de taxes et je ne comprends rien… Le bureau dans lequel ils s’engouffrent est exigu et je préfère rester au soleil à flâner. Je marche lentement sur le quai dans une zone prévue pour la circulation pédestre des employés. Des gars me saluent en souriant. Ils s’affairent avec des engins de manutention autour de containers, d’énormes sacs de marchandises diverses, ça grouille de vie. Et moi d’envie. J’entre sous un vaste entrepôt. À ma grande surprise, il est quasiment vide. Un homme déboule dans mon dos. Il m’engueule. Il me dit que je n’ai rien à faire là que c’est dangereux. La cinquantaine, la chemise impeccable, la cravate droite et l’air grave, on dirait le patron des quais. — Pardon Monsieur… j’attends mon père qui est en rendez-vous avec Monsieur Diop… Il semble étonné. Il se radoucit. — Et il est ...
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