Chakras
Datte: 05/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
couleurs,
asie,
frousses,
médical,
religion,
bizarre,
Oral
fist,
fdanus,
humour,
... travaillé le Manipura, elle attendait avec impatience l’ouverture de la dernière porte. — Je vais vous retravailler le Swadhistana, mais aussi le Muladhara ; détendez-vous. Elle se détendait autant qu’elle pouvait ; elle se préparait en écartant les jambes. Jacques Hun vint poser sa bouche sur son Swadhistana, également appelé « clitoris » en langage populaire. En même temps, il enfonçait un doigt dans sa chatte en état de liquéfaction avancée et un autre dans son anus. — Rhhaa ! hurla Martine.— Sentez-vous l’énergie circuler ? demanda-t-il en lui lâchant le clito.— Rouiiihh… répondit-elle en roucoulant. Elle ne sut jamais combien de temps elle resta ainsi à se tordre, haleter, gémir, délirer ; elle coinçait les doigts de son manipulateur dans ses portes célestes. Lorsqu’elle sortit de sa torpeur, elle se sentait planer à quelques centimètres au-dessus de la table. Alors qu’elle posait les pieds sur le sol, elle se sentit chanceler, comme Jacques*. — En français, ces portes peuvent se traduire par « Vortex » ou « Roues » ; il est normal de ressentir quelques étourdissements lorsqu’elles s’ouvrent, lui dit-il en lui tenant le bras. Venez vous rafraîchir un peu. Comme la première fois, elle dégoulinait. Comme la première fois, elle ne ressentait plus la douleur, ni même la moindre tension au bas du dos ou dans la fesse. Cette technique était prodigieuse ! Elle oubliait aussi la forfaiture de son ex ; son moral pointait sur le beau fixe. — À la semaine prochaine, Madame ...
... Martine.— Au revoir, Monsieur Jacques Hun. Elle ne se sentait plus de joie : sa douleur disparut, les massages de M. Hun lui procuraient sérénité et vitalité. Elle voulait faire partager ces bienfaits, aussi les conseilla-t-elle à sa sœur, insomniaque. ~o~ La troisième expérience se passa aussi bien que les autres. Monsieur Hun lui proposa un autre rendez-vous un mois plus tard. — Vous êtes sur la voie de la guérison ; je dois simplement vous stabiliser. Encore trois séances, à raison d’une par mois, et vous serez entièrement guérie. Une question la taraudait. — Vous soignez tout le monde ?— Ma plus jeune patiente a dix-huit ans, la plus âgée soixante-quinze.— Vous ne soignez que des femmes ?— Je me suis spécialisé, par préférence personnelle. Elle réfléchit un peu, eut une révélation et rougit comme une pivoine. ~o~ Elle suivit avec joie deux autres séances, regrettant de n’en avoir plus qu’une par mois. Chacune d’elles durait une heure : trois quarts d’heure de manipulations, et un quart d’heure pour reprendre ses esprits. Elle se rendit compte, après ce cinquième rendez-vous, qu’elle perdait du poids : les petits bourrelets disgracieux sur la taille fondaient. Elle se rendit à la dernière, toute guillerette ; elle ne ressentait plus aucune douleur, ni même aucune gêne à la colonne vertébrale. Elle se sentait revivre, dans toutes les acceptations du terme. Seule petite ombre au tableau : ses soins s’arrêtaient aujourd’hui. Arrivée à l’intersection de la rue de Navarre et de ...