1. Marion ; une veuve, une maman (3)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... son fils, la chair de sa chair, la convoiterait un jour à son tour. Et ce jour est arrivé. Elle ne sait pas ce qu’elle doit faire, ni quoi lui dire, et encore moins par où commencer ; elle n’a jamais été aussi déconcertée de toute sa vie. Une fois rhabillée, Marion reste assise sur le lit, très digne, et dévisage son fils, avec cet air un peu austère qu’elle prend souvent quand elle s’apprête à lui passer un savon, mais il n’ose pas lever les yeux pour affronter son regard. — Bon sang Mathieu, mais qu’est-ce qui t’as pris... qu’est-ce qui t’arrive ? Tu te rends compte de ce que tu as fait ? Je suis ta mère, pour l’amour du ciel ! Tu n’as pas le droit de me regarder de cette façon… Tu n’as pas honte ? Pour comprendre, il comprenait très bien ce qu’elle faisait, et il voyait où elle voulait en venir. Il l’avait surprise en train de se faire baiser comme la dernière des trainées, chez eux, en pleine journée ; c’est elle qui aurait dû se sentir coupable, fautive, et s’excuser. Mais voilà qu’elle prenait la situation à son avantage, et qu’elle le blâmait, lui, comme s’il était le seul responsable de ce qui était arrivé. Elle reprenait le contrôle, retrouvait de sa superbe, et, vu les circonstances, avec un talent, une maitrise, un art du retournement qui forçait le respect. Mathieu ne se doutait pourtant pas que sa mère, loin d’être aussi sûre d’elle que sa froide colère le laissait paraitre, était en fait anéantie. Elle bouillait intérieurement, mais elle faisait tout pour ne ...
    ... pas lui montrer. Elle voulait lui trouver des excuses, cherchait à comprendre les raisons qui avaient pu le pousser à se comporter de cette façon indigne et inacceptable. D’accord, il l’avait vue nue, au lit avec un homme, et dans une position à laquelle elle préférait ne pas penser, mais qui pouvait justifier le désir sexuel de n’importe quel mâle adolescent travaillé par ses hormones. Mais c’est de son fils dont il était question ! Il ne s’agissait pas du premier garçon venu, alors elle se demandait quel genre de fils elle avait mis au monde. Quel fils était capable de s’exciter en regardant sa mère se faire baiser ? C’était surtout son regard, son regard vicieux qui l’avait traumatisée ; elle avait eu l’impression que ses yeux s’insinuaient en elle, la fouillaient au plus profond de son être, presque physiquement. Elle en avait la chair de poule rien que d’y penser. Il aurait dû, au contraire, être embarrassé, terriblement gêné, peut-être même scandalisé, et se sauver sans demander son reste. Alors pourquoi ne l’avait-il pas fait ? Elle était prise d’un doute qui allait lui torturer l’esprit dans les jours à venir, ou plutôt les nombreuses nuits d’insomnie. Avait-elle fait quelque chose, avait-t-elle une part de responsabilité ? L’avait-t-elle encouragé, à un moment donné, pour qu’il se permette de considérer le corps de sa mère, temple sacré par excellence, comme un objet sexuel à sa disposition ? Elle s’auto-flagellait en imaginant des propos déplacés, des attitudes ...