1. Maison d'hôte à la montagne (6)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Hétéro

    Nous sommes à présent mardi. Il est neuf heure, et je me réveille avec Olivier. Je lui fais un bref bisou sur la bouche puis pars me doucher. Aujourd’hui, le programme semble sympathique puisque nous allons visiter les trois grandes villes basques, que sont Biarritz, Saint-Jean-de-Luz et Bayonne. Nous descendons dans la salle de vie de la maison, nous prenons notre petit-déjeuner. Pierre, le père de famille vient à notre rencontre, nous demande si nous sommes prêts pour effectuer les visites. Nous acquiesçons de la tête. Nous remontons brièvement dans notre chambre afin de prendre serviette de bain, et maillot. Il est neuf heure trente, nous montons dans la jeep familiale puis nous partons en direction de Biarritz. Nous y visitons le musée de la mer, nous nous rendons au rocher de la vierge, au port des pêcheurs, et pour couronner le tout, nous parcourons les halles où un guide nous fait déguster les spécialités culinaires locales. Et comme d’habitude, dans cette région, rien n’est fait dans la demi-mesure puisque je suis rassasié. Il est maintenant quatorze heure, Pierre nous emmène à Saint-Jean-De-Luz. Nous y visitons le fort de Socoa, le petit port, puis nous partons en direction de la plage. Nous posons nos serviettes, puis nous varions les plaisirs entre baignade et bronzage. Olivier semble aux anges, car il passe beaucoup de temps à jouer avec les vagues. Pierre de son côté, n’arrête pas de me mater comme un ogre affamé. Ça me trouble légèrement, mais j’essaye de ne ...
    ... pas y prêter attention. Mon époux revient vers nous, j’en profite pour lui demander de me passer de la crème solaire dans le dos, mais ce dernier ne pense qu’à son plaisir personnel en retournant dans l’océan. Un peu stupéfaite par cette réaction, je ne peux que demander au père de famille d’effectuer cette action. Ce dernier, ne peut s’empêcher d’être satisfait en ricanant avec une pointe de mépris. Je m’allonge alors sur le ventre, Pierre étale la pommade sur mon dos avec une douceur incroyable qui me procure des frissons. Il ne rate pas l’occasion de m’en faire la remarque. Il me propose maintenant de faire de même avec mon ventre, mais je refuse dans un premier temps de peur d’être prise en flagrant délit par Olivier. Le père de famille, toujours sur un air méprisant, montre mon époux du doigt qui est en train de sauter dans les vagues. Il rajoute même qu’à cet instant précis, ce dernier n’en a rien à faire de moi. Il marque un point puisque c’est la triste réalité à l’heure actuelle. Je me positionne alors sur le dos, je relève un peu mon buste à l’aide de mes coudes, puis je profite une nouvelle fois des caresses du quinquagénaire. Ces dernières ne me laissent pas insensibles. J’en ai les tétons qui pointent. Et bien entendu, le père de famille ne manque pas une seconde de ce spectacle qui lui est offert. Il me propose alors de retirer le haut de mon maillot de bain afin de ne pas le tâcher, mais disons-le clairement, pour toucher ma poitrine. Je lui dis que ce n’est pas ...
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