1. Post-divorce - épisode 20


    Datte: 06/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou

    ... passe de l’eau sur le visage en pleurant nerveusement et je retire tant bien que mal le sperme qui m’englue le corps. Je suis entièrement nu et je fini de me laver comme je le peux avec un gant quand Bouba entre dans le réduis avec un de ses mauvais sourire, sa bite énorme à nouveau dure comme un manche de pioche. Je gémis :- Non s’il vous plait, je n’en peux plus…Il me met une gifle, me prend par cheveux et me f0rce à me pencher sur le lavabo. Je reçois deux claques supplémentaires sur les fesses et je me cambre pendant qu’il ouvre mon cul à deux mains une fois encore. Il s’enfonce en entier d’un coup de rein vi0lent. Je laisse échapper un long râle qu’il commente dans sa langue, déclenchant une nouvelle vague de rires gras dans le bureau puis Akim ajoute pendant que Bouba l’infatigable me pilonne :- Bouba aime quand tu pleures et quand tu supplies, petite chienne blanche ! C’est ce qui lui fait durcir encore plus son os d’homme car Bouba aime les pédés. Souvent il en encule. Mais pas souvent en entier parce qu’il a la bite trop grosse alors que toi il peut tout enfoncer. Bouba va demander à monsieur MasterB ...
    ... s’il peut t’emmener au foyer où il habite un week-end entier. Contre un peu de sous que Bouba prendra, tu feras la putain. Elles veulent pas venir dans les foyers ! Même les arabes. Trop de vrais hommes qui leur font trop fort. Mais toi, Bouba t’attachera au lit et ensuite tout le monde enfoncera ta bouche et ton trou du cul avec sa bite. Après Bouba te fera le poing dans le cul et d’autres choses plus grosses pendant des heures. Il sait le faire très fort.- Oh mon Dieu pitié…Bouba est excité par ma réaction et il me défonce avec toujours plus de brutalité en torturant mes tétons. Je sens avec honte le plaisir qui reviens dans mes reins suppliciés et je pleure d’humiliation en m’entendant gémir un « Ouiiii… » pour qu’il me ravage toujours plus, ce dont il ne se prive pas. Au dernier moment, il décule et je me mets à genoux pour reprendre de nouvelles giclées immondes en pleine face. Les noirs sortent enfin et c’est dans un état second que je me rhabille, cache ma « tenue de chienne » dans un tiroir et quitte le bureau en chancelant. Quand je passe la porte de l’entrée principale, mon téléphone vibre dans ma poche... 
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