1. Voyage en tous sens


    Datte: 06/07/2018, Catégories: ff, fplusag, fépilée, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme initff, fsoumisaf, Masturbation

    ... elle, à sa vue et à ses caresses avec frénésie, largement ouverte, m’appuyant sur mes talons pour hisser mon bassin vers elle et aller au-devant de sa main pour accélérer son mouvement et l’arrivée du plaisir. Ses deux mains en action, elle savait parfaitement adapter le rythme, la caresse et la pression de ses doigts. Sans le vouloir, j’ai dû gémir un : — Fabienne, tu es folle, je vais jouir ! J’ai ressenti vraiment la lente mais inexorable montée du plaisir, jusqu’au déferlement où j’ai commencé à jouir. Longuement. Pleinement. Elle m’avait laissé, si je puis dire, choisir le moment sans chercher à le retenir, mais en déployant des trésors de savoir-faire pour ne m’y amener que très lentement. Secouée de spasmes, les seins dressés, ma peau frissonnante, je suis partie par vagues successives dans un orgasme violent, profond et libérateur, tel que je crois n’en avoir jamais connu, avec un cri à peine contenu. J’avais ouvert les yeux, et put voir, tout en jouissant, qu’elle me fixait intensément en plein orgasme, me savourant complètement tendue de plaisir au bout de ses doigts et dans sa main, afin de bien me sentir partir. Je me souviens de ses yeux allumés, remplis d’un désir presque sauvage, nos regards rivés l’un à l’autre, et sa satisfaction visible de me soumettre par le plaisir qu’elle me ...
    ... procurait. Tout cela m’a fait un effet incroyable, sublimant mon excitation et ma jouissance. J’ai réalisé plus tard que j’avais éprouvé un plaisir accru à me sentir ainsi dépendante et dominée, jusque par son regard. Me laissant me détendre après m’avoir accompagnée jusqu’au bout de ma jouissance, je l’ai entendue me dire dans un souffle : — Tu as un corps incroyablement excitant, j’ai tellement aimé quand tu as joui. Reprenant mes esprits, et au bout d’un certain temps de repos, je lui ai dit à quel point j’étais gênée de m’être laissée aller ainsi et de ce qui venait de se passer. Que jamais personne ne m’avait fait jouir ainsi et connaître une telle excitation et un tel plaisir. Mais que je n’étais pas attirée par les femmes et que c’était un accident. Elle me répondit qu’elle comprenait et que je pouvais avoir une confiance absolue dans le fait que cet épisode resterait un secret absolu entre nous deux. Il ne restait plus que deux nuits, y compris celle-ci, pour le séjour qui s’achevait. Elle ne fit aucune autre tentative, hormis me serrer contre elle tendrement par derrière, un instant, en me caressant les seins nus sous mon chemisier dans la salle de bain, le dernier matin, scellant ainsi notre complicité d’un instant. Si nous avions eu le temps ce matin-là, j’aurais sans doute encore craqué. 
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