1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1061)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... invités. Veille donc à ce que le nombre exact d’invitations soit imprimé, sinon tu seras tenue pour responsable de l’erreur et tu seras sévèrement sanctionnée. Tu y mettras le temps qu’il faudra, mais tu seras seule pour mettre les invitations sous enveloppe, et il faut qu’elles partent toutes demain matin à la première heure. Alors, dépêche-toi de te mettre au travail. Lui-même se reconcentra sur ce qu’Il était en train de faire avant que je n’amène le faire-part de mariage, tandis que, après un petit sourire de connivence entre nous exprimant notre bonheur d’obéir, chacune de nous partions exécuter les Exigences du Maître. Alors que je venais de m’empaler sur le plug du siège, la cloche du déjeuner sonna. J’hésitais une demi-seconde sur ce que je devais faire, ayant un long travail devant moi. J’aurai aimé au moins pouvoir tout envoyer à l’impression avant de partir, mais cela m’aurait mise en retard. - Allez ma petite chienne, va manger toi aussi ! Tu sais combien je tiens et j’exige que vous ayez une bonne hygiène de vie. Pas question, sauf si c’est une exigence de ma part, de sauter un repas ! Je connais ta glycémie capricieuse ! Si tu faisais un malaise pour avoir sauté un repas, tu serais triplement sanctionnée. Une fois pour avoir désobéi à une de tes règles de vie imposées, une fois pour n’être pas arrivée à l’heure pour le service des chiens, et une autre fois pour avoir mis en danger un bien M’appartenant, c’est-à-dire toi et ta santé. Je sais que tu te ...
    ... débrouilleras pour remplir complètement mes exigences concernant le mariage. Allez va ! Je me relevais donc, tandis que le Maître quittait le bureau, pour Lui-même aller se restaurer. J’arrivai juste à temps pour ne pas me faire sanctionner par Marie pour un retard. Je prenais le temps qu’il fallait pour manger. Je savais que de toutes manières, tous les chiens étaient relâchés en même temps, donc j’aurai fini trop vite, j’aurai pu me retrouver sanctionnée pour m’avoir provoqué une mauvaise digestion. Cela dit, à peine j’eus fini ma gamelle que Marie m’appela pour me dire que j’étais exempt des corvées qui suivaient normalement le repas car j’avais du travail qui m’attendait. Je l’en remerciais en me prosternant, puis sur un sévère coup de cravache sur mon postérieur, je me dépêchais de retourner à ma tâche. Très vite, j’envoyais, après avoir vérifié minutieusement trois fois que je n’avais fait aucune faute d’orthographe en tapant le texte, le projet à l’impression, en précisant le caractère urgent de ce que je demandais sous l’exigence du Maître Vénéré. Une heure plus tard, on vint apporter un carton de cinq cents faire-part avec autant d’enveloppes imprimées aux adresses des invités. Il me fallut toute l’après-midi et une partie de la soirée pour exécuter cette tâche, n’étant pas exempt de mon travail quotidien de secrétaire particulière. Le Maître était parti depuis longtemps, lorsque je me dirigeais, une fois que j’eus fini, vers le bureau de Walter, afin qu’il me conduise pour la ...
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