un soucis financier (4) - Histoires de Sexe

un soucis financier (4)

Ca faisait plus d'une semaine que je n'avais plus de nouvelle d'Amalia, et de mon coté je ne cherchais pas à la joindre non plus. Ma femme ne me parlait pas d'elle non plus, donc elle ne devait pas avoir de nouvelle également.Je fus tres surpris de la voir rappliquer chez moi un mercredi après-midi, sans prévenir. J'étais en train de regarder la télé. - salut, tu es seul, je peux entrer ?, me demanda t-elle sur le pas de la porte.Je lui fis signe d'entrer. Elle portait un chemisier et un jean, avec une petite veste et un sac à main pendu à son épaule. Elle entra dans le salon, et sortit quelques billets de son sac à main. - voilà, je commence à te rembourser, j'ai réuni 500 euros, je t'en donnerai autant chaque mois. - heu ouais, c'était pas trop le deal, mais bon... - ce qui s'est passé est passé, je regrette que ça ait eu lieu, je t'aimais comme un frère, et... - ... attends, c'est quoi ce laïus de merde ? et tu viens chez moi avec même pas un quart de la somme que je t'ai donné, et tu veux faire ta loi ? pose tes billets sur la table, je prends cette avance, mais je vais aussi prendre ton trou du cul. - ...je... c'est hors de question, ecoute moi maintenant.Je sortis mon téléphone portable de ma poche et composait le numero de mon beau-père. - Oui, bonjour, pardon de vous déranger, en fait je voulais vous parler d'Amalia, j'ai cru comprendre qu'elle avait des soucis financiers ?Je mis le haut parleur, et Amalia devint blème. - oui, fit mon beau-père, pourquoi ? elle ne ...

... t'a quand meme pas demandé de l'argent ? si elle a fait ça, elle va entendre parler de moi !Amalia se décomposait, elle me fit signe de ne pas poursuivre la conversation. Je regardais Amalia avec insistance. Je mis ma main devant le micro du combinet, et murmura : "donne moi ton cul".Elle déboutonna son pantalon lentement. Je la regardais avec un léger sourire, tout en continuant de parler : - non, mais j'ai un peu compris qu'il y avait des soucis, j'ai appris qu'elle avait perdu son job, et comme elle n'a pas de copain en ce moment, je ne sais pas trop comment elle s'en sort. Vous savez, les temps sont durs aujourd'hui.Amalia baissait son pantalon, laissant apparaitre une petite culotte noire à dentelles. Je la fis s'assoir sur la table du salon, et écarter les cuisses. On voyait parfaitement par transparence les poils de sa chatte, ainsi que les levres de sa fente. - Ce sont des conneries, fit mon beau-père. Quand on veut s'en sortir, on le peut ! Regarde, mes parents ont connu la guerre, et ils ont réussi malgré tout. Aujourd'hui, plus personne n'a envi de bosser, c'est pour ça... J'aimerai qu'Amalia comprenne qu'il faut qu'elle arrete de compter sans arret sur ses parents. - Je comprends, c'est une grande fille maintenant, lui dis-je en ecartant la culotte d'Amalia sur le coté. Sans forcer, je sortis ma queue raide, et la glissa dans la fente d'Amalia. Elle était juste humide, mais par de petits vas et viens, je la sentis mouiller de plus en plus, pour que finalement ma ...