1. Quatorze centimètres


    Datte: 24/07/2017, Catégories: fh, jeunes, amour, Oral pénétratio, init, prememois,

    ... pour la minette et pour les caresses, sûr que tu l’emmèneras loin mais elles veulent qu’on termine par une série de coups de queue qui les font tourner de l’œil. C’est pas assez, de rester au bord ! L’autre jour je lisais un article, toujours surDoctissimo. Mais cette fois, pas sur le forum, dans la partie sérieuse écrite par des médecins et toute cette chiée de spécialistes du cul. De nouveau sur la taille de la bite. Comme ils savent plus quoi dire pour les frustrés comme moi, ils ont été repêcher des idées dans le Kama Sutra, ce recueil indien qui a plus de deux mille ans ou je sais plus trop, et qui nous dit comment y faut baiser. Il en est sorti un truc genre qu’il y a trois sortes de gars suivant la taille de leur membre. Il y a les taureaux, les lièvres et les chevaux pour les mecs (c’est normal) et pour les nanas il y a les biches, les juments et les éléphants (faudrait qu’on m’explique pour les éléphants). Sûr que je suis un lièvre. Et ben il paraît qu’un homme-lièvre, il doit trouver une femme-biche pour que l’union soit égale. Et une union égale, ça veut dire que quand ils baisent, c’est le pied. Alors je me suis figuré à quoi ça pouvait ressembler, une femme-biche. Déjà, des grands yeux ronds toujours étonnés, des peureuses, des filles qui ne disent trop rien. C’est silencieux, une biche. Et c’est fin aussi, élancé. Il y a tout de suite une image qui m’est venue en tête. Jenny. Ouais, celle qui reste toujours sur le côté, en classe. Une blonde qui rougit tout le ...
    ... temps quand elle doit répondre au prof. Elle est ringarde, Jenny, toujours un gros diadème noir dans les cheveux, toujours recroquevillée sur elle-même. Elle pourrait être mignonne, mais elle préfère ressembler à une première de classe. Si je la drague, je sais pas comment elle réagirait. Je la vois pas bien devenir pivoine, me tourner le dos et s’encourir à longues jambes. Je sais que je suis pas trop moche, malgré mon handicap. Je crois que je devrais pas avoir trop dur, si j’insiste un peu et que je la joue mec sympa et amoureux et ouvert et tout. Les potes vont bien se foutre de ma gueule, mais je les emmerde. Je les aime pas, de toute façon. *** C’est comme ça que je suis arrivé en classe, lundi. J’avais une mission : sortir avec cette pauvre Jenny. Il a pas fallu discuter longtemps avec Léonore pour qu’elle change de place avec moi. Elle avait un œil sur Olivier et en plus elle paraissait soulagée de plus devoir être assise à côté d’une momie. Elle m’a à peine dit bonjour, Jenny. Entre ses dents, comme si c’était trop de lever la tête et de me sourire. Il va y avoir du boulot, on dirait. Je profite de la fin du cours de maths pour lui demander si c’est son truc, les maths. Elle a à peine soufflé : — Non, la littérature, plutôt. Une perche longue de trois kilomètres, qu’elle me tend. Je lis depuis que je suis né. Chez ma mère, les bouquins, ils tapissent les murs de toutes les pièces et il y en a une chiée. Je m’excite et je crois qu’elle s’est saisie par mon énergique : ...
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