1. J'ai revu mon amant Pierre


    Datte: 24/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dans l'ascenseur, et c'est trépidante d'excitation que je suis allée lui ouvrir la porte. Autant notre moment intime dans la cave fut bestial, autant notre nuit ensemble fut empreinte de douceur et de tendresse. Au lieu de nous jeter l'un sur l'autre afin de copuler, nous avons passé un long moment à nous caresser le corps, de nos doigts, et surtout avec nos langues. Pierre n'a pas laissé un seul centimètre carré de mon corps vierge de sa langue, commençant par ma nuque, mes épaules, mon dos, mes seins, mon ventre, descendant sur mes pieds, pour remonter sur mes chevilles, mes mollets, mes genoux, mes cuisses, pour terminer en apothéose par ma chatte, qui brûlait de désir. Après avoir joui sous les coups magiques de sa langue, je lui ai demandé de me prendre. Couchée sur le dos, écartant au maximum mes cuisses, je lui offris mon sexe, les lèvres ouvertes comme une fleur. Son gland s'est immiscé dans mes entrailles, suivi par son chibre vigoureux. Sachant que je vivais peut-être une des dernières soirées sexuelles avec lui, je lui ai supplié : - Baise-moi comme jamais, je t'en prie, baise-moi ! Nos regards ne se sont jamais quittés pendant ce moment magique, son sexe entrait et sortait de mon intimité, je sentais son gland buter au fond de mon vagin, s'il n'y a jamais eu une définition du paradis sur terre c'était ceci. Alors que je ...
    ... m'approchais à nouveau de la jouissance, nos bouches se sont rejointes en un baiser langoureux, avant qu'il ne vienne me mordiller l'oreille et me murmure : - Je t'aime Karen. Jamais ces mots ne m'ont fait autant d'effet. Mon corps s'est transformé en orgasme, je ne faisais plus qu'un avec lui. Sa jouissance m'a faite chavirer, et j'ai momentanément perdu toute notion du temps, alors qu'il se vidait en moi. Je n'ai jamais vécu un moment aussi fort, aussi puissant, aussi jouissif de toute ma vie. Je lui en serai redevable jusqu'à la fin de mes jours. Je ne sais pas si j'ai crié ou si je suis restée silencieuse, tellement le plaisir a primé sur tout le reste. Après je ne sais combien de temps, je suis revenue sur terre. Pierre s'est retiré de moi, alors que son sperme coulait hors de ma chatte. Je lui ai dit : - Ecoute Pierre, je ne devrais pas dire ceci, puisque tu vas vivre avec ton amie. Mais je veux que tu saches que tant que tu me désires, mon sexe te sera toujours offert. Toujours, quand tu veux. Nous avons passé une nuit torride ensemble, répétant à l'envi, en ce qui me concerne, les orgasmes. Ce n'est qu'au petit matin, après une nuit d'amour totale, que je le laissai partir à contre-coeur. Il va revenir en Europe dans le courant du mois de janvier, avec son amie cette fois, nous verrons bien ce que l'avenir nous réserve. Bisous, Karen 
«123»