L'arbre
Datte: 08/07/2018,
Catégories:
couple,
forêt,
fsoumise,
facial,
Oral
nopéné,
fdanus,
jouet,
jeu,
attache,
yeuxbandés,
tutu,
Il est tard, le jour finit. Tu m’as dit : allons au coin où on a joué avec le manteau. Je n’ai rien dit, forcément ! Arrivé là je me penche vers toi mais tu me repousses. Tu me dis : pars, reviens dans 10 minutes, et tu descends avec un sac que je n’avais pas vu. C’est long, 10 minutes ! Surtout quand l’atmosphère est saturée d’envies. Je reviens, il fait plus sombre. Je te vois dans la lumière des phares. Tu me tournes le dos, tu es appuyée à un arbre. Les jambes un peu écartées, le torse contre l’arbre. Tu t’es changée, tu as des bas sombres, à couture, et cette terrible robe noire. Des chaussures rouges à talons, et rien d’autre. Si, les phares accrochent un reflet entre tes fesses. Et en regardant mieux, je vois que tu as un bandeau sur les yeux. Et que tes mains sont de l’autre côté de l’arbre, comme liées par une de mes cravates. Je m’approche, je ne dis rien mais mes pas font un peu de bruit. Des reflets à la lumière des phares ? Mais oui, tu coules, ça court le long de tes cuisses jusqu’à la lisière des bas ! Je pose ma main sur ta hanche, tu tressailles. Je n’ai pas dit un mot. Qui suis-je ? Le bandeau que tu as mis sur tes yeux nous donne la réponse : pas de réponse est meilleur… (« Je » ne suis plus là, maintenant c’est « Il »…) Il remonte un peu la robe pour dégager tes fesses, il en baisse le haut pour que tes seins soient à l’air. Deux reflets. Les papillons sont accrochés à tes seins, tes tétons sont tendus. Rien de plus, tu sens qu’il s’éloigne, qu’il te ...
... regarde. Tu ondules du bassin, tu te cambres pour mieux t’exposer. Tu ne pouvais pas avoir fait une telle faute de goût, des chaussures rouges mais ne rien porter d’autre qui soit rouge : les boules (presque rouges) aussi sont là ! Il s’approche à nouveau, les brindilles craquent sous des pieds. Tu tournes la tête du côté du bruit, tu respires fort. Il pose juste un doigt sur tes lèvres entrouvertes. Tu commences à mimer une fellation. En fait non : tu gémis, ce n’est pas un mime. Et avec deux doigts cela semble plus fort… De deux doigts de son autre main il te caresse la joue, tu délaisses les doigts que tu suçais pour gober ceux-là. Puis tu passes d’une main à l’autre, alternant tes pipes. Il retire ses mains puis délicatement mais fermement il pousse ta joue contre le tronc un peu rugueux de l’arbre. Il attend un peu avant de te lâcher, tu sais que ton visage doit rester collé à l’écorce. Il tapote les papillons qui se mettent à balancer à tes seins. Ça doit être agréable, tu remues la poitrine quand les balancements ralentissent, ce qui les relance. Il les tire, bien sûr cela tire sur tes tétons, tu tressailles. Il tire un peu plus fort, un peu plus longuement. Tu gémis mais tu ne bouges pas, la joue toujours contre l’arbre. Plaisir ? Douleur ? Il tire encore un peu plus fort, encore un peu plus longtemps. Tu gémis à nouveau, mais il voit que tu te mords un peu la lèvre. Il attend encore un tout petit peu avant de relâcher la pression… Puis il lèche tes tétons gonflés. ...