1. La découverte


    Datte: 08/07/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, Oral pénétratio, fsodo,

    Je les observe sur la terrasse de ce café depuis maintenant une demi-heure, caché là comme un gamin derrière un gros platane. Complètement anéanti par la confirmation de mes soupçons. En revanche, eux ont l’air parfaitement heureux, ils rient, se tiennent la main, s’embrassent, comme un couple ordinaire. Par eux, j’entends ma femme et son amant, bien sûr. Cela fait 3 jours que des soupçons me tenaillent, depuis la découverte par hasard sur son portable d’un texto laconique, "vendredi comme d’habitude à 12h30, Éric". D’abord intrigué, je tapote sur le portable de ma femme pour connaître l’auteur de ce message, un certain Éric G….. Ne connaissant ni l’un ni l’autre un Éric dans notre entourage, je me mets immédiatement à douter de la présence d’un tel message sur le portable de ma femme. — Sophie ne me ferait quand même pas un coup pareil, me dis-je. Nous sommes mariés depuis 10 ans, c’est impossible. Sophie rentre 2 heures plus tard, et là ma résolution de lui en parler s’effondre aussitôt comme un château de cartes. C’est qu’elle est belle, ma Sophie, avec son 1m75, ses longs cheveux noirs et sa plastique irréprochable. Elle me sourit, puis fronce les sourcils. — Tu as une drôle de mine, me lance-t-elle— Ce n’est rien, juste un peu fatigué, lui répondis-je La soirée se passe et, une fois au lit et sur mon insistance, nous faisons l’amour. Je la prends en missionnaire mais, de mon côté, le cœur n’y est pas, et du sien encore moins. J’éjacule au bout de 5 minutes, puis je me ...
    ... retire. Elle me sourit, m’embrasse et reprend son livre. Je me tourne de mon côté, dans ma tête il y a une tempête, avec une question qui m’obsède : — Me trompe-t-elle ? Je remarque que depuis six mois nos rapports se sont espacés et surtout terriblement banalisés. Le travail, la fatigue, la routine. — Je dois savoir,me dis-je. Vendredi, je prendrai ma journée et la suivrai pour connaître le fin mot de cette histoire. Trop lâche pour lui demander ouvertement, c’est le seul moyen de savoir. Les trois jours qui suivirent furent un calvaire ; prétextant une surcharge de travail au boulot et un mal de tête récurrent, je lui parle à peine. Arrive ce vendredi, son jour de congé. Je pars comme d’habitude après ma douche et mon petit déjeuner, elle dort encore. Comme tous les vendredis, je l’embrasse en lui disant "À ce soir". Elle se réveille à peine, je sors de notre pavillon. Je prends ma voiture, fais le tour du quartier et range à nouveau mon véhicule à un endroit discret me permettant d’observer les allées et venues près de notre maison. J’attends un temps infini puis, vers 11h30, la voiture de ma femme sort de notre garage et se dirige vers le centre ville. Je suis déjà un peu soulagé. — Au moins, si elle me trompe, elle respecte notre intimité en le faisant ailleurs que dans notre lit. La suivre ne fut pas facile ; comme nous habitons une grosse ville de province, la circulation et les feux rouges faillirent être fatals à ma filature. Finalement, elle se gare à proximité de la ...
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