Une certaine après-midi en juillet. - Histoires de Sexe

Une certaine après-midi en juillet.

... ce domaine que quelques unes de ces artistes que je vois performer dans ces films. Et, monsieur, à chaque fois, je rêve que je fais cela devant un nouvel amant qui, lui, prend le temps de me regarder danser nuer. Et, maintenant, et à chacune de ces soirées si spéciales, aussitôt que je sais que mes trois enfants dorment, j'aime tant danser nue en face des miroirs mur à mur de ma chambre à coucher pendant que je surveille d'un œil, l’un de ces films xxx. Mais, monsieur, je vous jure que vous êtes le premier, homme ou femme à qui ne m'a jamais vu dans ce genre de performance. C’est tout un tourment de ne pas toucher à cette femme parce qu'elle sait elle comment plaire et exciter un homme. Soudain, son téléphone cellulaire s’est mis à sonner et la dame m’a surprise quand elle s’est levé précipitamment pour courir à son automobile pour prendre son appel. Je l’entend dire: Allo, Mado, si tu savais comme j’avais hâte que tu m’appelles. Il se passe quelques secondes pendant que c’est Mado qui doit lui parler quand la femme lui dit: Bien, comme ça mon mari est chez toi? Et, comme je le connais, tu dois déjà savoir tout sur notre vie de couple. Le pauvre chéri, il a toujours de besoin d’une épaule pour se plaindre de ses misères. La Mado rajoute ses longs commentaires. Je sais que tu as du coeur! Tu est gentille d’avoir penser à envoyer les enfants à la pêche avec ton mari. La Mado dit encore ses commentaires Pauvre lui, comme ça, le pauvre chéri est chez toi, depuis le milieu de ...

... l’avant midi. Puis, toi, tel que je te connais, tu as dû te dépêcher de lui ouvrir tes cuisses. Mado rajoute encore un de ses commentaires. Je te remercie d’avoir pris le temps de lui faire l’amour pour le consoler. J’ai toujours su que tu as toujours aimer ça te sacrifier, ma biche! Puis, toi ma salope, après t’être envoyer la bonne femme hier, aujourd’hui, tu t’envoies le mari, tu t’en payes du bon temps, ma chère. Aie!, ma Mado, cette après-midi, c’est mon tour de te surprendre. Depuis le temps qu’on se dit tout en nous parlant au téléphone au moins une fois par jour. Bien-là, ma biche, moi aussi, je vais te surprendre en te disant que je n’ai pas juste pleurer sur mon sort depuis que je me suis sauvé avec l’auto ce matin. Je me rapproche de la dame et j’entends son mari qui hurle dans le cellulaire : TU ES MIEUX DE TE POINTER TOUT DE SUITE AVEC MON AUTOMOBILE. La dame lui réplique : Passes-moi, Mado, on a encore des choses à se dire. Pendant tout ce temps-là, la femme est dos à moi, les deux mains bien appuyées contre son automobile. Elle se cambre le dos et elle ouvre un peu les cuisses en bougeant des fesses comme une belle invitation à la prendre. Je me frotte l’estomac contre son dos, j’encercle ses seins d’une main et je frotte mon ventre sur ses fesses chaudes. Je glisse l’autre main sous l’un de ses genoux et la remonte lentement entre ses cuisses en les approchant de sa chaleur de femme. Mado, si tu savais comme j’avais si hâte d’avoir ton coup de téléphone. Ne me ...