1. Une certaine après-midi en juillet.


    Datte: 09/07/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... en a qui s’écrase après cela. Mais moi, ça me fait même toujours rebondir d’au moins une coche plus haute. Peut-être que c’est le coup de pied au cul qui m’aide et qui me stimule à aller toujours un peu plus loin. En tous les cas, ça m'aide à me creuser les méninges pour écrire encore plus avec mes tripes au lieu de toujours me fier à mes maudites bonnes manières. Des fois, quand je veux être trop politiquement correct, c’est moi qui fini par me péter la gueule. Ma petite madame!, cet après-midi, aussi vrai que je suis devant vous, je dois vous dire que j’en ai fantasmé tout un coup, à chaque fois que j’ai trouvé des fraises aussi grosses qu’un mamelon en érection. La femme en rit encore à s’en plier en deux lorsque je lui ai dis cela, et, je vois encore surgir des étincelles qui pétillent dans ses yeux de plus en plus espiègles. Et, la compagnie de cette charmante et si ricaneuse femme me fait me sentir de plus en plus comme avec un vieux copain. Je dois vous dire ma chère madame, que cet après-midi, aussitôt que je suis entré dans mon fantasme, j’ai touché délicatement à chacune des fraises comme si elle était un gros mamelon en érection d’une femme d’âge mur. Et, avec mes doigts, j'ai joué délicatement avec le fruit mûr avant de le presser lentement entre mes lèvres. Vous auriez dû me voir, car, j’ai beaucoup aimé cette douce sensation! Pour vous dire toute la vérité, je me suis senti comme lorsque je me réveille d’un de mes fameux rêves érotiques. Et, croyez-moi sur ...
    ... parole, les fraises doivent certainement avoir un effet aphrodisiaque, car, il y avait de l’action dans mon caleçon! La dame en rit. Ses yeux n’arrêtent pas de me draguer. Ils descendent instinctivement à la hauteur de mon caleçon qui comme de raison est lui aussi tout taché de jus de fraises. Après s’être exclamée d’un profond: Ho, la, la. Étonnée autant de mes propos que de me voir en érection, la dame garde la bouche toute grande ouverte pendant quelques secondes en regardant la bosse dans mon caleçon. Et, de la manière que je suis placé près de son automobile, la dame n’a qu’a ce penché la tête en cette direction pour voir quasiment tous mes poils pubiens, les contours de mes testicules et la partie exposée de mon membre qui est déjà en pleine érection. Même si mon gland, lui, est bien camouflé dans le matériel du caleçon qui naturellement est lui aussi tout déformé par l’âge, (j’aurais du le jeter depuis longtemps, car, les élastiques ne font plus convenablement leur ouvrage. Mais, comme je suis en vacances, j’aime ça être dans mes vieux vêtements). La dame se lèche les lèvres en continuant à garder ses yeux sur mon membre en découvrant sa grosseur et sa longueur. Et, comme cette dame ne semble pas plus pressée que moi, je lui dis que moi en tant que macho, je trouve cela bien étrange de voir une femme seule emprunter une route en si mauvaise état, surtout, au volant d’une automobile sport, et, une belle auto neuve en plus. Pendant que nous continuons à placoter, à quelques ...
«12...456...22»