un soucis financier (5)
Datte: 09/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... niveau, je fis à Amalia : - Bon et bien remets ta culotte (lui dis-je en la lui tendant), on va pas tarder à y aller.Amalia me regarda avec une certaine rancoeur. J'avais ramassé sa serviette et était assis dessus, elle ne pouvait donc plus s'envelopper dedans pour se couvrir, et de toute manière elle savait ce que je lui demandais.Elle m'épata assez lorsque je la vis saisir les bords de son maillot et baisser celui-ci, pour exposer sa chatte poilue. Le jardinier passa à coté de nous en s'arranchant les yeux sur la chatte d'Amalia. Ce qu'elle remarqua evidemment, sans même le regarder, elle sentait son regard posé sur elle avec insistance. Elle tendit la main vers moi pour prendre la culotte, mais je la remis dans ma poche. - Va le voir, et demande lui de bien passer la tondeuse à coté des cyprès, en faisant attention aux tulipes, je me rappelle que ta mère n'avait pas été contente une fois. - J'y vais mais je mets ma culotte au moins avant. - Non, vas y nue. Et sois tres souriante avec lui.Amalia fit quelques pas, avec la main placée un peu devant sa chatte, mais cela ne cachait pas grand chose. Elle interpela le jardinier qui s'arrêta et la regarda, sans s'empêcher de lorgner malgré lui sur ses seins et sa chatte. - Oui madame, je vais le faire, ne vous inquiétez pas, dit il rapidement une fois qu'elle eut fini de lui expliquer.Amalia revint vers moi et je vis le jardinier lui considérer le cul avec insistance.Je lui tendit sa culotte, qu'elle enfila rapidement, puis je ...
... pris son sac à l'épaule. Je considérai un instant la jeune femme, visiblement mal à l'aise, la chatte bien visible au travers sa culotte très transparente. Je lui dis de me suivre, et nous nous mirent à marcher en direction des escaliers pour redescendre vers la maison. A mi chemin, nous croisons les deux autres jardiniers qui ne purent s'empêcher de jeter un oeil à Amalia, reluquant ses seins mais surtout sa chatte à peine cachée. A leur hauteur, elle pressa le pas et baissa la tête, tandis que les deux hommes la regardèrent sans discretion.Elle entra dans la maison, et je lui demandais de me suivre. On traversa le salon, puis nous primes un couloir qui amenait aux différentes chambres. Elle freina un peu le pas lorsque j'ouvris la porte de la chambre de ses parents. - Non, pas là, me dit-elle.J'entrais malgré tout dans la chambre spacieuse, attenante à un grand dressing et à une salle de bain. Je m'asseyais sur le bord du lit. - Cherche un peu où ta mère range sa lingerie.Amalia me regarda avec une grande réticence. Je voyais qu'elle était à deux doigts de me tenir tête. Elle ne bougeait pas, et je comprenais que mille pensées traversaient son esprit. - C'est ça ou je te coupe les vivres. Tu ne peux t'en prendre qu'à toi même, tu faignasses au lieu de chercher un travail et te complait dans la passivité. Ce mois ci tu n'as même pas répondu à une annonce. Tu veux que je te rappelle combien j'ai payé déjà pour toi ? Et combien je te donne tous les mois ? - Je sais mais là je ...