vive les fêtes ratées (2)
Datte: 09/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Un esprit chagrin aurait pu estimer qu’Hélène abusait de la situation. Allongée tranquillement sur son lit, cela faisait plus de vingt minutes que je la massais sans qu’elle ne montre une quelconque envie d’écourter la séance. Elle savait que j’avais rendez-vous avec mes potes, mais au lieu de me libérer, elle se contentait de grogner de contentement alors que mes pouces appuyaient le long de sa colonne vertébrale. Cela ne faisait qu’une semaine que cela avait commencé, mais c’était déjà la troisième séance de ce type. La première fois, cela avait été après son cours de tennis, la deuxième après le sport du lycée, et là… ma chère sœur n’avait même pas daigné chercher le moindre prétexte. Juste une demande, grognée par la porte entrouverte de sa chambre quand elle m’avait entendu passer à proximité. Cependant, j’étais à mille lieues de me plaindre, voire même de regretter les minutes de retard qui s’accumulaient : au lieu d’entourer une manette de console de jeux vidéo, mes mains étaient bien posées sur le corps de ma frangine et mes fesses, au lieu d’êtres affalées sur un canapé avachi, effleuraient le haut de ses cuisses. Mon sexe dur frottait également contre les chairs d’Hélène, le tissu de mon pantalon et sa culotte séparant hélas nos deux épidermes. Le souffle court, essayant de me concentrer sur le massage proprement dit, je me demandais si elle allait m’autoriser à la pénétrer rapidement à la fin, comme lors de la dernière fois. Je priais pour, bien entendu, mais ...
... j’entendais parfois notre mère s’activer au rez-de-chaussée, et, à chaque bruit, je sentais Hélène qui se crispait sous mes doigts. Peu de chance qu’elle s’abandonne, se laisse aller… Je me souvenais encore comment ses propres mains s’étaient insinuées vers l’intérieur de ses cuisses, comment elle s’était donné du plaisir avant de retirer son tanga pour m’offrir son sexe humide… Rien de tout cela aujourd’hui. Certes, elle se cambrait parfois pour accentuer la pression de ma tige sur le sillon de ses fesses, mais j’avais le sentiment que c’était plus par jeu, pour s’assurer du niveau constant de ma raideur que pour préparer le feu d’artifice final. Et ses paroles chuchotées achevèrent de ruiner tout espoir : « Papa ne va pas tarder à rentrer. On ferait mieux d’arrêter. Je marmonnais un assentiment tout en continuant mes massages, en profitant pour toucher ses fesses de façon ample. Elle écarta quelques secondes ses jambes pour que mes pouces touchent la région de ses adducteurs et remontent jusqu’à sa petite chatte, puis Hélène les referma et tortilla du bassin pour chasser ces intrus de son intimité. « T’es con, Clément, dit-elle d’un ton mi énervé, mi amusé. Après je vais être toute excitée. « Parce que tu crois que moi non ?, je répliquais plus rogue, peu enthousiaste à l’idée d’être plantée là avec mon érection qui commençait à me lancer. Hélène poussa un soupir qui empruntait au ricanement et se dégagea davantage en avançant de quelques centimètres. Toutefois, elle ne se ...