1. Cocu avant le mariage


    Datte: 24/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Promesse de mariage : cocu avant le mariage Léa ma petite amie, ce week-end, s’est montrée chatte, joueuse, espiègle et curieusement pressée d’obtenir une réponse à ses questions très orientées : - Dis, m’aimes-tu ? Es-tu sérieux ? M’épouseras-tu ? Quand ? J’ai eu l’impression étrange qu’elle avait à trancher, à décider si elle devait attendre ma demande ou accepter celle d’un autre candidat plus empressé que moi à convoler. Que lui arrivait-il soudain, pourquoi cette hâte à repousser mes mains de son corsage, à détourner la tête au moment d’un bisou, pourquoi cette insistance pour obtenir un engagement ? Pourquoi ce petit chantage nouveau? - Non pas touche; réponds d’abord. - Oh! Juste une petite caresse. Il y a une semaine tu étais moins sévère et cela semblait te plaire. Tes yeux brillaient quand je passais un doigt. - Un doigt; deux, une main puis le reste, dit-elle en fixant la braguette de mon pantalon. On sait où ça mène. Et oups!... ! il n’y a plus de bonhomme. Eh! Bien, ça ne me plaît plus. Tu réponds d’abord et ensuite on verra si tu mets un doigt, pourquoi pas deux . J’adore, mais... Tu demandes toujours plus, c’est bien gentil. Comprends que je ne peux pas t’accorder davantage sans assurance sur tes intentions. Bien sûr que je t’aime, que j’aimerais aussi, là, tout de suite, tes caresses intimes. Mais après ? Un mot suffirait, tu pourrais toucher, parle. Jusque là, notre relation progressait paisiblement, sa fréquentation ensoleillait mes samedis et dimanches ...
    ... et éclairait la semaine à venir. J’étais heureux, serein, plein d’espoir. Ce recul soudain, cette méfiance à peine déguisée me bloquent. J’ aimerais crier: -Oui, oui, cent fois oui. C’était mon plus ferme désir. Combien de fois ne nous étions-nous pas affirmé: « Je t’aime ». Son amour me semblait acquis depuis le soir de la semaine précédente où nous avions échangé un long baiser à pleine bouche, debout au coin de sa rue, hors du halo d’un lampadaire. J’avais osé, audace extrême pour moi, poser une main sur un sein. Elle avait gémi tout bas, mais son baiser s’était fait plus ardent et j’avais décrit des cercles délicats sur l’autre sein. Nos langues avaient engagé une lutte délicieuse, ma main était devenue folle, s’était glissée sous la jupe à plis, avait franchi une bordure de culotte et avait connu au toucher la différence entre un garçon et une fille. Curieusement Léa avait à peine protesté contre cette intrusion dans son intimité et pendant que nous nous embrassions avec passion, elle avait évalué d’une main placée au bon endroit, l’effet qu’elle produisait sur moi, avant d’échapper au plus curieux de mes doigts par un bond en arrière accompagné d’un commentaire - Chéri, n’allons pas trop vite. C’est trop bon, trop fort. Ah! Ce que je t’aime. J’avais tourné la tête pour porter mon majeur à la bouche et pour goûter l’odeur ineffable et si mystérieuse de son sexe humidifié par mes attouchements prudents. J’avais ensuite passé une semaine merveilleuse à me remémorer ces ...
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