1. Tante Gisèle, maman, et les autres... (17)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre 17 : Les deux sœurs. — Corine ! Tu es encore là ! Il est presque 7 heures ! Tu devrais rentrer chez toi. Ton mari va se demander ce que tu fais. — Oh, non ! Blandine… c’est comme tu as dit… Non, c’est mieux ! Extraordinaire ! J’ai même eu plusieurs orgasmes ! Et mon mari…j’en ai plus besoin ! — Et bien…Je vois que Dany a été à la hauteur ! Pousses-toi un peu sœurette. Blandine s’assied sur le bord du lit et prend mon sexe poisseux dans sa main. — Mais c’est encore tout chaud ! Elle passe sa main autour de ma queue, tire vers le bas la peau du prépuce qui est un peu remonté sur mon gland et celui-ci surgi, brillant et rouge. Sa langue serpente dessus et autour puis elle commence à lécher comme une sucette mon gland tout enflé. Le glissement de sa langue chaude sur mon gland me fait gémir de désir et mon sexe se redresse immédiatement. Soudainement elle englouti dans sa bouche chaude et humide ma bite de nouveau raide. Je frissonne de plaisir quand je sens ma bite glisser et s’enfoncer loin dans sa bouche pour l’avaler complétement sous les yeux incrédules de sa sœur! Au début de nos relations très intimes elle avait du mal à bouffer complétement ma bite mais avec de la volonté et de l’entraînement, elle est devenue une excellente tailleuse de pipe. Sa sœur revenue de sa surprise c’écrit. - Blandine ! Ce n’est pas vrai ! Tu arrives à avaler sa grosse bite ! — Oui, Corine ! Au début j’ai eu du mal mais elle est tellement bonne qu’il fallait que je la croque ...
    ... entièrement. Tu veux essayer ? — Oh non ! Je n’ai jamais fait ça ! — Raison de plus pour essayer ma petite chérie ! — Non ! Continue, je te regarde. Blandine se déshabille rapidement et à genoux entre mes jambes elle reprend mon sexe en bouche. Quel spectacle. J’ai devant moi 2 femmes sublimes, nues, l’une me fait une belle turlute et l’autre se caresse le minou en regardant sa sœur œuvrer. Mon dieu qu’elles sont belles ! J’arrive encore à contrôler mon désir mais je sens bien que ça ne va pas durer longtemps. Je lui caresse sa chevelure aux reflets roux pendant qu’elle me suce en faisant des petits bruits de sussions sur ma bite. Sa sœur n’en perd pas une miette et admire le travail de Blandine. Ses yeux brillant de désir regarde ma queue trempée de salive, apparaître et disparaître dans sa bouche chaude et experte. Elle déguste vraiment ma queue qui gonfle de plus en plus. Sa technique est maintenant parfaite et elle pourrait rivaliser avec les meilleures putes de la région. Ma bite commence à trembler de désir et je geins de plus en plus fort. Sa bouche quitte ma bite et me permet de ne pas cracher mon sperme tout de suite. — Tu vois, Corine, il faut la déguster comme une grosse friandise. Tu suce son gland comme tu suces les pommes d’amour à la fête foraine. Tu fais surtout attention de ne pas le faire jouir tout de suite. Au début tu avales ce que tu peux et un peu plus à chaque fois. Tu te sers bien de ta langue, surtout sur son gland qui est très sensible. Et tu as deux mains, ...
«1234...»