Nathalie
Datte: 11/07/2018,
Catégories:
fh,
train,
vidéox,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... Reviens en moi, je veux jouir ! demande-t-elle d’une voix suppliante. J’approche mon gland de sa fente et retourne bien au chaud, au fond de sa chatte. Elle est bonne. Elle halète de plus en plus vite, moi aussi. Quelques noms d’oiseaux s’envolent pour aller virevolter dans la pièce, je la baise le plus fort possible. Nous ne sommes plus des humains, mais des bêtes. Tout le reste s’efface autour de nous, il n’y a plus que ma queue dans son abricot suintant de mouille. Ses bras se crispent, les mains à plat contre la porte, elle se met à trembler, à crier, je sens que son plaisir n’est pas très loin, le mien non plus d’ailleurs. Ses cheveux bruns s’agitent dans tous les sens, fouettent l’air autour de nous. Je continue de plus belle et sens sa chatte brûlante se contracter sur ma bite. Elle lâche un hurlement qui m’achève et je jouis à mon tour dans un long râle. Epuisés par cette partie de jambes en l’air, baignant encore dans le plaisir, on reste un moment dans cette position, nos corps collés l’un à l’autre. Une petite voix nous ramène à la réalité, elle annonce le prochain arrêt. On reprend tranquillement nos esprits. En se décollant de la porte, ses seins y laissent deux petites auréoles de transpiration, comme pour témoigner du plaisir qu’on vient de partager. — Je dois descendre, c’est ici que j’habite.— Non, sérieux ? (Elle me regarde, un sourire aux lèvres.) Moi aussi, j’habite ici.— Eh bien, si t’es toujours aussi chaude, ça promet pour la suite. Qu’est-ce que t’en ...
... dis ?— Donne-moi ton numéro de téléphone, je t’appellerai un de ces jours. Pour une surprise.— Une surprise ? dis-je, intrigué.— Oui, tu verras bien. Son sourire et l’éclat de son regard ne me laissent pas beaucoup de doutes quant à la nature de cette surprise. J’en ai déjà l’eau à la bouche. On s’habille, elle remet un peu d’ordre dans sa jolie coiffure. On sort de la cabine et quand le train s’arrête, on descend sur le quai. Je ne résiste pas et approche mon visage du sien, pour l’embrasser délicatement. Nos langues s’entremêlent, quand je sens qu’elle me glisse quelque chose dans la main, un bout de tissu tout moite. Ça ne peut-être que… — Tiens, ma culotte. Je la regarde, un peu surpris. — Un cadeau pour te faire patienter jusqu’à la prochaine fois. Comme ça, tu penseras à moi. Elle me dépose un petit baiser sur la bouche, l’air mutin, puis se retourne et remonte dans le wagon. Son service n’est pas encore terminé. Laissant échapper un sourire, je me retourne et m’en vais, tandis que le train repart. La nuit est belle, une pluie fine et rafraîchissante achève de m’apaiser tandis que je retourne chez moi, caressant sa culotte du bout de mes doigts. Le lendemain je retourne au boulot et je me penche à nouveau sur ce satané problème que je finis par résoudre quelques jours plus tard, après m’être arraché la moitié des cheveux. Inutile de préciser que le problème suivant ne met pas longtemps à venir me dire bonjour. Je sais pas ce qui m’a pris de devenir informaticien, je vais ...