Portrait : Carmelle
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
portrait,
... pulsion sexuelle ; un authentique réceptacle à sensations. Elle criait, gémissait bruyamment pendant l’amour ; elle adorait qu’on lui tire les cheveux aussi, qu’on lui maintienne la tête, qu’on la prenne fermement par les hanches. Elle aimait que l’homme soit aussi bestial qu’elle. Elle en demandait toujours plus, jusqu’à l’explosion de plaisir des deux partenaires ! Son corps se mit à suivre les ondulations de Roméo, ses reins se creusèrent. Elle sentit des frissons dans son dos alors que Roméo lui soufflait doucement derrière le cou. Carmelle ne put retenir sa respiration haletante qui laissait couler de petits gémissements. Elle sentit le vent frais contraster avec son entrejambe bouillant quand le drap fut enlevé, tiré par-dessus ses hanches, dévoilant son sexe. Puis la main de l’homme vint le couvrir et y enfoncer un doigt. L’excitation croissante de Carmelle finit par avoir raison de sa pudeur, fragile comme sa volonté, alors que le sexe dardait plus profondément entre ses cuisses, sous ses fesses… L’étreinte de Roméo se montra aussi plus ferme. Elle voulut se retourner pour embrasser l’homme à pleine bouche et lui crier qu’elle le voulait, qu’elle avait envie de son corps, que l’attente devenait insupportable. Mais elle n’en eut pas l’occasion car il lui peigna les cheveux de ses doigts avant de refermer le poing et de maintenir fermement sa tête en arrière alors qu’il glissait sa verge sans peine dans le sexe déjà humide de la jeune femme. Elle ne pouvait s’empêcher ...
... d’être aussi excitée dans pareille situation érotique : un amant inconnu dans ses draps ! Carmelle partit, s’abandonna au plaisir, brisa le reliquat de scrupule. Elle se sentit à la merci du désir, elle devint fantasme. Roméo épousait son corps en cuiller, malaxant sa poitrine généreuse. Mais qui était-il, ce Roméo qui méritait mille compliments, mille mercis, mille fellations ? Tandis que Carmelle s’approchait des portes du septième ciel, elle ouvrit les yeux et se trouva en face des portes de la boîte de nuit, qu’elle poussa… Elle pénétra avec volupté dans le pays des sensations, des rêves et se retrouva à onduler du corps vers la piste de danse. Elle se fraya un chemin avec les hanches, caressa des corps innombrables massés en haies d’honneur ; des mains la flattèrent comme une prêtresse païenne. La jeune femme finit par rejoindre ses Roméos. L’un après l’autre, Carmelle essaya de se les remémorer : leur corps ou leur façon de bouger qui pourrait peut-être trahir qui la tenait par-derrière. Mais elle ne remarqua que leurs regards subjugués par le spectacle que cette femme sublime offrait. Elle jouissait de ce don de pouvoir capter l’esprit masculin et de l’exciter avec très peu d’effort, encore et encore, tout le long d’une nuit. Carmelle dessinait des mouvements lascifs sur la piste sans spécialement leur adresser, ils étaient destinés à qui voulait. Elle chérissait ce moment précis quand apparaît cette lueur d’intense excitation dans l’œil de l’homme qui la mate en train ...