1. Bourge et salope


    Datte: 11/07/2018, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... Même je couchais utile. Je ne dédaignais pas d'obtenir d'un client en ultime ressort sa signature. Disons que ce séjour à Bourges relevait d'une sage retraite où la méditation excluait à priori la bagatelle. Didier me rappelait malicieusement à cette dimension de la vie. Sa femme décidément m'horripilait. J'aurais peut-être envie de m’en venger. Je tins à ne pas décourager totalement le mari. Je croisais mes cuisses ostensiblement afin qu'il put s'en repaître souvent.Quoiqu'il en soit au milieu de la semaine j'étais parvenue à rencontrer les clients sauf un dernier. C'était le plus coriace et désagréable. En l'occurrence on m’avait dépêché pour mater la rébellion de celui-ci. Aussi me l'étais-je réservé pour ce jeudi. Il était furieux qu'on lui eût dépêché une donzelle plutôt que Patrick notre meilleur élément. Il respectait ce Patrick. Celui-ci étant seul de taille à lui résister. Il me balança d'emblée son dépit que ce fut moi au lieu de lui. Il ajouta même : « J'ai scrupule à gaspiller votre temps. » Je lui répondis. « Je suis venue de plein gré. »Ma répartie le surprit. Il m’apprécia de côté tel un oiseau de proie considérant le gibier qu'il va dévorer. Affectant un ton grossier, il poursuivit : « Vous êtes jolie et bien foutue. Veut-on m'att****r avec ce genre de ficelle ? » Je perçus la provocation et ne me démontais pas. « Vous semblez êtes revenu de la compagnie des femmes. Je vous propose cependant à m'inviter à déjeuner. Ainsi vous vous ferez pardonner. » ...
    ... J'appliquais l'adage que la meilleure défense est l'attaque. Il goûta mon insolence et accepta de m'inviter. Son sourire était maintenant plus bienveillant.En fait à l'intérieur, j'étais en colère contre ce malotru et contre mon patron qui m’avait envoyé au casse-pipe. Au début du déjeuner Je fus mis à l'épreuve sur la connaissance des dossiers. J'étais imbattable là-dessus. Il dut en convenir. Radouci il tint à s'excuser sur la grossièreté de tout à l'heure. Je lui dis qu'en mon métier on intégrait cela. Il me demanda si j'étais mariée. Je lui répondis oui avec une grimace. Il éclata de rire disant : « Buvons donc à votre cocu de mari ! » Je pris cela comme une invite. Ce cochon n'avait-il pas dessein maintenant de me sauter ?Nous bûmes plus que de raison. Je savais fatal ce genre de dérive. Mon teint pas moins que le sien devint écarlate et puis l'alcool a un effet funeste sur la libido. Il n'est pas faux qu'il faille faire boire une femme pour la faire choir. Ce porc me tutoyait me balançant à tout bout de champ : « Petite Denise. » Il me montra par la fenêtre de l'autre côté de la place, une bâtisse recelant un bordel si clandestin que tout le monde savait. Mon hôtelier mutin lui-même s'en était ouvert. Mon client revenu à sa grossièreté s'exclama : « Vois-tu j'y ai là-bas les meilleures amies. »Agacée et un peu inconsciente je lui rétorquais : « Vous escomptez m'y emmener ? » Il pouffa de rire. « Non chérie, j'ai mes coutumes. Là-dessus y a des piaules. On peut y faire un ...