1. Une femme amoureuse


    Datte: 12/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Bruno a maintenant Alice assise devant lui, la chatte humide et prête à accueillir sa queue gigantesque. - Je vais te baiser directement sur ce comptoir. Juste où ton mari et toi avez nettoyé vos assiettes. Je vais te faire crier de plaisir. - Moi ! Je vais gémir autant que je le veux et surtout tu ne m’entendras jamais te supplier de rien. - Si, tu vas me supplier et me crier de ne jamais arrêter ! - Non ! Je ne le fais même pas pour mon mari ! Bruno frotte son gland contre les lèvres chaudes d’Alice. Sans plus de mots, il s’enfonce promptement sur toute sa longueur. Elle doit mordre sa lèvre quand l’énorme verge déplace ses chaires ! Un fort gémissement s’enfuit d’elle. La douleur est étirée rapidement elle aurait été perceptible dans tout le quartier n’eut été de son mari siégeant dans la pièce d’à côté. Se retenir est d’autant plus excitant. La télé toujours allumée, Brice bénéficie d’un spectacle sportif incroyable. Son ami, Bruno, profite bien plus de la soirée avec sa lance enfouie dans le vagin de sa femme. Il la dépose sur le comptoir pour poursuivre ses coups. Ce sera une baise épique pour Alice. - Oh ! Aucun gars, ouf ! Aucun mec ! Ouf ! Personne ne m’a jamais fait sentir aussi étroite ! Mon Dieu que tu prends de la place ! Bruno sourit d’un large et heureux visage. C’est vrai qu’elle est étroite malgré son expérience. Il maintient tout simplement son pénis en elle, sans bouger. Alice frissonne d’avoir son gland si épais profondément en elle. Elle s’accoutume à ...
    ... cette extraordinaire force de la nature. - Tu aimes la sensation de ma queue Alice ? - Hm, oui, mais j’ai connu meilleur ! Bruno retire sa verge titanesque. Puis, il recommence doucement à baiser Alice, vite, très vite ! Sortant et allant rapidement dans la chatte chaude qu’il envahit, elle sera bientôt toute garnie, et quand le piston de Bruno entre et sort de sa fournaise. Elle jette sa tête vers l’arrière et cadenasse ses cuisses autour des hanches de son amant. Elle serre le comptoir ! La sueur recouvre ses moindres recoins et rondeurs. Le plaisir qu’elle ressent de cet amour défendu lui font perdre la tête. - Tu en veux à nouveau ? Tu en veux plus ? Elle ne peut que laisser échapper des gémissements ! Souriant et sûr de lui Bruno continuait de la pilonner. - OUI ! Encore, encore ! encore plus. - Que je t’en donne plus ? C’est ça Alice ? - OUI, saute-moi Bruno ! Saute-moi maintenant, dans ma cuisine ! Ses râles intermittents ne sont sans doute pas perçus par les oreilles de Brice situé à quelques enjambées d’eux. Le mari est toujours rivé à l’écran. Deux cents euros est en jeu, raisonnable quoi ? Non ! Irraisonnable, tout comme la baise illicite de sa femme. Même s’il perd, il sait toujours l’avoir à ses côtés et pour longtemps sous son toit. Alice la prunelle de ses yeux, n’a aucun prix. Son seul défaut est qu’elle n’aime pas le football. Son deuxième défaut, son appétit démesuré pour le sexe. - Bruno ! Vite ! cri Brice ! Il faut que tu viennes voir ça. PSG est en train de ...
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