1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... alors de ses deux yeux, m’obligeant à tourner sur moi-même. Je suis très, très décent mais elle me regarde en détail comme devaient le faire autrefois les acheteurs d’esclaves. — Tu n’es pas mal mais tu n’es quand même pas un Adonis ; tu as besoin de te muscler et de t’étoffer car on dirait une asperge (je fais 1,85 m) qui a poussé trop vite. Il faudrait que tu demandes à une de tes copines de venir faire la cuisine chez toi. Elle me met en boîte, ses yeux pétillant de malice. C’est alors qu’elle se lève, se met pieds nus et avance comme marchant sur des œufs vers moi, puis elle s’agenouille à mes pieds. Je pense qu’elle va se prosterner devant moi. Pas du tout, elle lève ses deux mains, attrape de chaque côté l’élastique de mon boxer et le baisse comme je l’avais fait trois semaines avant pour elle avec sa culotte souillée. Je suis plus que confus car mon sexe libéré de toute contrainte s’est gonflé dès sa libération. — Puisque tu gardes ma petite culotte bleu en souvenir de moi, je vais garder ce slip comme souvenir. Je pourrai le montrer à mes copines en disant que j’ai déculotté un grand « macho ». Je ne te donne pas, cependant, de fessée. Je ne suis pas sûr qu’elle n’en ait pas une très grande envie. Toutefois, toujours à genoux, elle fait le nécessaire pour retirer mon boxer, m’obligeant à lever les pieds l’un après l’autre. — Amandine, tu exagères ; tu pourrais être sérieuse !— Moi, je n’ai rien dit (et, pour cause, elle n’était pas en état de faire des discours) ...
    ... quand tu as fait la même chose avec moi il y a trois semaines… J’étais heureuse que tu t’occupes de moi. Tu ne l’es pas, en ce moment ? Que dire ? Je lui passe la main dans les cheveux et je lui masse les épaules. Elle a mon slip dans les mains. Elle se penche vers mon sexe et y dépose une série de petits baisers. Je dois dire que j’apprécie au plus haut niveau les sensations ressenties. — Pas à dire, tu es bien armé ; cela fait longtemps que je rêvais d’un tel spectacle.— Tu ne crois pas que tu exagères. Tes gestes me remplissent de confusion… Je suis loin d’être insensible à la situation… Ma verge déployée se met à trembler ; j’ai du mal à la calmer et je n’ai rien pour la cacher ; ce serait ridicule de mettre mes mains devant. Je ne sais comment me dépatouiller de la situation. Elle a dix-huit ans, pas de petit ami, elle a des chances d’être vierge et je sens qu’elle veut que je la fasse « femme ». Ma libido ne demande pas mieux mais j’ai peur de la toile d’araignée qu’Amandine est en train de tisser autour de moi. Mes mains continuent à la masser et se dirigent petit à petit vers le bas de son torse. Pendant que j’agis à mon corps défendant et que je réfléchis sur la situation, elle s’est relevée brusquement, fait deux pas en arrière ; elle libère alors ses cheveux, enlève deux boutons sur ses épaules et sa robe tombe sur le plancher. Je découvre alors toute sa beauté, ses formes, certes graciles encore, mais bien proportionnées, sa peau un peu mate, ses longues cuisses ...
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