1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... laisse faire. Elle a remis sa tête sur le lit et ferme les yeux, elle se concentre sur les sensations que mes baisers lui délivrent. J’atteins, enfin, ses seins, je les malaxe avec mes mains, ma bouche, je mordille ses petits tétons de jeune fille. Elle soulève alors sa tête, elle attrape la mienne avec ses mains, fourrage avec dans mes cheveux et maintient ma bouche sur ses tétons qui se dressent aux bouts de ses petits seins. Elle est loin d’être insensible à mes baisers et mes morsures car elle commence à geindre et à ahaner. Sa respiration a changé de tempo et devient beaucoup plus syncopée, sa tête se balançant de gauche à droite et vice versa. Durant ce petit jeu, mon sexe reste à un niveau d’excitation maximum ; je pourrais déjà l’utiliser pour la pénétrer mais pourquoi aller vite, nous avons tout l’après-midi devant nous… Ma bouche descend vers son nombril ; ses gémissements ont pris un régime de croisière. J’arrive vers le centre de sa féminité. Elle est complètement nue, allongée sur le lit, je peux admirer alors toute sa beauté que j’avais entraperçue trois semaines avant. Amandine repose à l’état d’abandon sur le dos, elle sourit en me regardant mais je sens derrière ce sourire une très grande émotion. Elle ouvre ses jambes et je vois son intimité profonde. C’est la deuxième fois que je peux voir et admirer son sexe, fine strie rouge, caché par une frondaison pileuse noire, très dense et courte. Bien que je sois de plus en plus excité et que mon sexe me fasse ...
    ... plutôt mal, je n’accélère pas mes caresses et ma bouche descend entre ses cuisses afin que ma langue puisse jouer avec son clitoris et les bords de son antre féminin. Amandine a refermé ses yeux et maintenant elle ahane (ah… ah… ah). La fréquence de ses cris et gémissements est liée à la fréquence du passage de ma langue ou de mes lèvres sur ses organes les plus intimes. Je lèche, je suce, je mordille ses grandes lèvres, son clitoris. Ma langue n’est pas en reste, je la manie de façon à m’insinuer entre ses grandes lèvres, entre ses fesses jusqu’à lécher son petit trou. Mes mains malaxent ses fesses ou ses seins en fonction du moment. Ses râles deviennent continus. Il est temps que je calme le jeu afin d’éviter qu’elle ne parte seule au septième ciel. Au bout, d’un petit moment, j’arrête mes baisers, je relève la tête, Amandine revient à la raison et me regarde avec beaucoup d’interrogation dans ses yeux. — Amandine, faut-il que je prenne des précautions ? Elle pousse comme un ouf de soulagement et son regard devient grave. — Non, Mathieu, je prends la pilule depuis que j’ai seize ans. Maman l’a voulu ainsi. Elle n’était pas contre les jeux sexuels dès cet âge, à partir du moment où je ne ferais pas n’importe quoi avec n’importe qui et que je lui en parlerais. Silence, nous reprenons nos esprits, je la prépare et l’excite avec ma main qui masse son sexe en le pénétrant de mes doigts. Entre deux ahanements elle arrive à me dire d’une voix tremblante d’émotion : — Mathieu… Je suis ...
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