1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... raccompagne jusqu’à son immeuble. Là, elle me prend dans ses bras pour m’embrasser longuement sur la bouche ; nos langues se mélangent, nos mains pétrissent le corps de l’autre. Ses voisins doivent s’apercevoir qu’elle a un petit ami car ce baiser dure longtemps, interrompu parfois pour respirer ; plusieurs personnes de son immeuble passent près de nous durant ce grand moment de douceur ; ils ne perdent pas une miette du spectacle et nous sourient. Je finis par la quitter et, faisant demi-tour, je reviens chez moi ; je suis heureux mais inquiet aussi. Certes, j’adore ses yeux, sa peau douce mais ferme et son corps tout entier mais est-ce que je suis fait pour vivre avec elle plus tard ? Pour la première fois, ma rencontre avec une femme n’est pas qu’une histoire de libido à soigner. De plus je suis très inquiet de rencontrer sa mère seul à seul le lendemain ; certes il y a un petit travail à effectuer mais n’est-ce pas un moyen inventé par Amandine (ou sa mère) pour un entretien en tête à tête. Je dois dire que je dors mal dans la nuit qui suit. À tout moment je me demande quelle idée j’avais eu pour entrer dans une telle galère ; mon côté célibataire me dit que je me suis fait piéger. Mais je dois avouer que je suis heureux du piège qui m’avait été tendu. 00000000000000000000 Donc, le dimanche je me retrouve à midi avec un bouquet de fleurs au pied de l’escalier menant à l’appartement d’Amandine. Je dois avouer que je suis attendu, sa mère m’ouvre de suite la porte de ...
    ... l’escalier dès que je sonne chez elle. — Qui est-ce ?— Mathieu.— Troisième étage gauche. Quand j’arrive au palier elle m’attend sur le pas de porte de son appartement et, après les civilités d’usage, je lui offre les fleurs ce dont elle me remercie. — Il paraît que vous avez un problème dans la cuisine ?— Oui, Mathieu. J’ai coincé le tiroir qui est sous le plan de travail et je n’arrive plus à l’ouvrir. Il y a des couverts qui coincent le système et je n’arrive à rien.— Je vais voir ce que je peux faire. Je vais de suite m’occuper du tiroir et il est bien coincé par un empilement interne d’ustensiles de cuisine. J’arrive à l’entrouvrir d’un à deux centimètres mais je ne peux aller plus loin. Il faut pour débloquer le système, que j’arrive à défaire l’entassement avec une aiguille ou un couteau. — Madame, auriez-vous une aiguille à tricoter fine et pas trop fragile afin que je puisse la glisser dans le tiroir. Elle sort de la cuisine et revient avec plusieurs aiguilles. — Mathieu, je pense que ces aiguilles pourront faire l’affaire ; à vous de les essayer. Vous pouvez m’appeler Sylvie, «Madame» est trop pompeux. Je vais bien passer une bonne demi-heure à m’escrimer sur ce fichu tiroir mais finalement il se rend et je peux dire à la mère d’Amandine que tout est ok. — Sylvie, je suis arrivé à décoincer le tiroir.— Merci Mathieu. Profitons qu’Amandine n’est pas là pour parler d’elle. Que pensez-vous de son comportement ? C’est ce que je craignais. Une des raisons de mon invitation ...
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