Amandine - Histoires de Sexe

Amandine

... ne pouvais pas dire à sa mère que ses sourires aux anges m’étaient adressés et que nous avions déjà mélangé nos sabots. — Si elle vous met au courant de ses histoires pourriez-vous me prévenir ; elle vous aime bien et elle a une très grande confiance en vous.— N’ayez crainte, je ferai le nécessaire pour vous dire ce que j’aurai appris sur elle. Je me disais en moi même que j’étais un bel hypocrite. Nous continuons à parler d’elle, du temps et des derniers ragots du quartier. Sylvie en tant que caissière occasionnelle au supermarché connaissait tout ce qui se passait dans le coin. Amandine nous surprend alors que l’on devise calmement dans la salle de séjours. — Bonjour Maman… Je vois que Mathieu est là… a-t-il pu arranger le tiroir ? Je vais me changer.— Ne traîne pas trop car le repas va être prêt et je n’aime pas la viande trop cuite et, Mathieu, non plus, je pense. Elle se tourne alors vers moi. — Depuis son aventure, elle passe un temps fou dans la salle de bain alors qu’avant, en garçon manqué, elle n’y faisait que des haltes de courte durée. Amandine, tu te dépêches et tu serviras quelque chose à boire à Mathieu, je termine la préparation du repas. Sagement j’attends… Je vois revenir Amandine en petite robe rouge d’été assez courte. Son visage est joyeux et elle me dévore de ses grands yeux noirs. — Mathieu, un peu de vin blanc ?— Oui, j’aime bien. Moi aussi, je la dévore des yeux en souriant. Elle va à la cuisine et revient avec une bouteille de blanc sec bien ...

... fraîche ; elle attrape dans le buffet un très grand verre (genre hanap !) qu’elle remplit presque à ras bord puis elle se dirige vers moi avec son air espiègle que je connais bien et qui me fait si bien fondre. — Je ne vais pas boire tout ça.— Non je vais t’aider. Elle s’approche de moi et, sans me laisser faire un geste, elle s’installe à califourchon sur mes genoux soulevant un peu sa robe pour ne pas la froisser. Elle pose alors ses lèvres sur les miennes en un baiser très tendre, puis elle se recule en arrière pour mettre ses yeux dans les miens. Nous ne nous disons rien mais nos cœurs battent de concert ; elle se noie dans mes yeux, je me noie dans les siens. Nous restons un grand moment ainsi puis, mutine et espiègle, elle me susurre dans l’oreille : — J’ai oublié de mettre une culotte. Ce que je peux vérifier de suite en passant mes mains sous sa robe. Je suis choqué tout en étant heureux de malaxer ses fesses avec mes mains, certains de mes doigts allant à la découverte de ses grandes lèvres. — Amandine, tu exagères, cela ne se fait pas ; tu ne peux pas faire n’importe quoi devant les autres.— C’est un moyen comme un autre d’éviter que tu critiques la couleur et la forme de ma culotte. Puis, elle met un doigt sur sa bouche pour m’intimer l’ordre de me taire et me fait boire un peu de vin. Je garde mes mains sur ses fesses et ses cuisses, mes doigts se perdant dans son intimité ; elle me faisait boire en alternance avec ses lampées. Nous sommes en phase tous les deux, yeux ...