1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... dit-elle d’une petite voix entre deux gémissements, car je suis toujours en train de la travailler.— Tu vas avoir mal ! Je n’ai pas prévu de gel pour faciliter cela. Tu n’es pas obligée de me le demander pour que je t’aime.— Non ce n’est pas cela, j’aimerais connaître et comparer avec les autres jeux, et, pour ce qui est de la douleur, je pense que cela fera moins mal que les coups de badine sur mes fesses. Manière comme une autre de me rappeler ce que je lui avais fait quelques semaines avant. Comme je ne veux pas trop que cette nouvelle étape lui cause de douleur, je me redresse un peu, mes mains abandonnent sa poitrine et sa tête, je récupère un peu de ses secrétions intimes avec mes doigts pour enduire son petit trou. Je le prépare alors tout en maintenant ma verge en mouvements lents dans son sexe ; je fais pénétrer dans son fondement un, puis deux, puis trois doigts tout humectés de ses secrétions. Elle a mis sa tête sur l’oreiller entre ses bras et chaque fois que je la titille de mes doigts, elle ne peut s’empêcher de pousser vers l’arrière ses fesses comme si elle voulait s’empaler au plus profond d’elle-même. À chaque pénétration ses ahanements sont un peu plus rauques comme si elles lui apportent une certaine douleur. — Mat… vas-y. Je n’ai plus qu’à m’exécuter ; je suis, cependant, un peu marri que ce soit elle qui me force la main. Je retire mon sexe de son antre naturel, je vérifie l’état de dureté de mon pénis puis je me positionne à hauteur de son ouverture ...
    ... anale et pousse lentement le bout de ma verge dans l’orifice ; je m’aide de mes doigts pour la maintenir dans la bonne direction. Dès que je commence à m’introduire dans son petit trou, je sens qu’elle se crispe. Elle a arrêté d’ahaner et fait entendre des grognements rauques ; je ne vois pas sa figure mais je pense qu’elle fait la grimace sous la douleur mais elle ne fait rien pour s’échapper à mon étreinte. Pour moi, ce n’est pas facile car, vulgairement parlant, son cul est des plus serrés et mon pénis de taille ordinaire a toutes les peines à forcer l’entrée de son petit trou. Assez rapidement, pourtant, la porte d’entrée est forcée et je sais que je vais pouvoir faire coulisser mon sexe dans son fondement sans trop de problèmes. Par acquis de conscience je lui demande : — Amandine, ça va ? Elle relève sa tête de ses bras, me regarde de ses yeux magnifiques ; ils sont humides ce qui me fait penser qu’elle a dû avoir mal lors de ma première action. — Mat… ne t’arrête pas… je veux connaître la suite. Sous cette injonction il ne me reste plus qu’une issue : la faire monter au septième ciel en la sodomisant. Je commence alors une cavalcade de plus en plus rapide de mon sexe dans son postérieur ; au début je sens qu’elle souffre encore de mes coups de boutoir mais bientôt elle se remet à gémir et à ahaner en fonction du tempo de mes mouvements. Afin d’être sûr qu’elle arrive à la jouissance maximum, je passe mes mains sous son bassin et mes doigts se positionnent sur son sexe ...