1. Black Angel Vs Papillon De Nuit (5)


    Datte: 12/07/2018, Catégories: Lesbienne

    ... laver. — Je peux t’emprunter ton gel douche à la grenade ? — Oui, sers-toi. Pendant que je débarrassais et rangeais la table du petit déjeuner, j’entendis Océane m’appeler. — Fran, tu peux venir une seconde ? — J’arrive ! Je pénétrai dans une salle de bain pleine de vapeur chaude qui lui donnait un petit air de sauna et me postai face à la cabine de douche. xqrxiiyf — Tout va bien ? Il te faut quelque chose en particulier ? m’inquiétai-je. — Ben, en fait, je... Tout à coup, un bras mouillé surgit du petit espace entre le carrelage et le rideau comme un diable hors de sa boîte, m’agrippa afin de me faire entrer dans la cabine de douche alors que j’étais encore habillée. En une seconde, je me retrouvai complètement trempée sous le jet d’eau chaude, gloussant comme une collégienne sous l’effet de surprise. Océane me souriait ; elle m’enlaça et m’embrassa tendrement. Mon chemisier collait à ma peau ; pour ne pas être en reste, je me mouillai les cheveux que je plaquai en arrière. Mes tétons réagissaient ; ils se dressèrent fièrement presque tout de suite. Le seul bouton de mon chemisier fut rapidement déboutonné, ce qui laissait voir unebande verticale de ma peau. Prétendre que cette situation ne m’excitait pas aurait été un vilain mensonge. Océane s’amusait àcaresser sensuellement ma peau trempée du bout de ses doigts, agaçant mes tétons, les pinçant, tirant délicatement dessus à travers le tissu. Une de ses mains caressait tendrement l’intérieur de mes cuisses, mais lorsque ...
    ... je voulus la caresser, elle prit fermement mes mains pour me plaquer dos et mains contre le mur. Elle écarta doucement mes jambes à l’aide d’un de ses genoux sans que je ne songe à résister. Elle saisit doucement le pommeau de la douche et régla l’eau de manière à ce que le jet ne soit pas trop chaud, mais le plus puissant possible. Elle le promena lentement sur moi, laissant sa main vagabonder sur mon corps trempé et immobile tout en plongeant ses yeux dans les miens. Son regard était chargé de sensualité, de désir; j’en tremblais, non pas de froid mais d’excitation : je n’aurais jamais cru qu’une femme puisse me faire un jour ce effet-là. Elle m’embrassa de façon encore plus passionnée. Lentement, le jet d’eau se dirigea sur mon clito ; lorsque mon bourgeon fut mis en contact avec la forte pression, mon corps tout entier se crispa et je laissai échapper une plainte aigue du fond de ma gorge, ce qui la fit sourire. La température de l’eau était idéale pour ce genre de pratique, et la façon dont elle manipulait le pommeau pouvait laisser penser qu’elle devait souvent s’adonner à ce genre de caresse. Elle enserra ma taille avec son bras libre et se colla presque à moi pour me murmurer des mots tendres à l’oreille. C’était génial ; je prenais vraiment un pied d’enfer ! — Regarde-moi dans les yeux, Fran! me dit-elle sur un ton à la fois sensuel et directif. Je veux voir ton regard se vider au fur et à mesure que le plaisir t’envahit. Haletante, fièvreuse, tremblante, les yeux ...