1. Goupillon et le gode en verre (1)


    Datte: 12/07/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Il était une fois un gentilhomme qui épousa en secondes noces une femme, la plus hautaine et la plus fière qu’on eût jamais vue. Elle avait deux filles de son humeur, et qui lui ressemblaient en toutes choses, c’est-à-dire seins fermes et petit cul serré. Le mari avait de son côté une jeune fille, mais d’une beauté sans exemple ; elle tenait cela de sa mère, qui était la meilleure personne du monde. Les noces ne furent pas plus tôt faites que la belle-mère fit éclater sa mauvaise humeur ; elle ne put souffrir les bonnes qualités de cette jeune enfant, qui rendaient ses filles encore plus haïssable. Elle l’attachait tous les soirs sur un siège de BDSM qui lui pinçait les tétons avec des pinces à crocodile et qui lui versait de la cité chaude sur la chatte. Tout le reste du temps, Cendrillon devait se promener en mini-jupe avec une ceinture qui lui maintenait un énorme code dans le cul. Elle avait affreusement mal mais ne se plaignait pas à son père qui l’aurait grondé, parce-que sa femme le gouvernait entièrement. Une fois que sa belle-mère avait fini sa torture et la laissait un peu en paix, elle se brossait le cul avec un goupillon car cela apaisait la douleur due à la pénétration. A cause de cela, ces sœurs l’appelaient Goupillon. Cependant, Goupillon, quoique tout le temps vêtue comme une soumise, était 100 fois plus sexy que ses deux sœurs. Il arriva un jour que le fils du roi organisa un bal et que toutes les personnes avec des beaux atouts étaient priées de venir. ...
    ... Évidemment, les deux sœurs, qui se croyaient sexy, se préparèrent. « Moi, dit l’aînée, je vais mettre ma robe à décolleté et qui s’ouvre dans le dos. — Moi, dit la cadette, je mettrai ma robe courte et moulante qui mettra en valeur les formes ! » On envoya chercher une coiffeuse qui leur fit les meilleures coupes imaginables. Goupillon était chargée de les maquiller. Elle fit admirablement son travail. La cadette lui dit : « Pourquoi n’irai tu pas au bal ? — Hélas, mesdemoiselles, vous vous moquez de moi, ce n’est pas là ce qu’il me faut. — Tu as raison, on rirait bien si on voyait un Goupillon aller au bal. » Pendant deux jours, Goupillon fut chargée de rembourrer les soutiens gorges afin que les seins de ces deux planches paraissent exister. Enfin, l’heureux jour arriva, elles partirent, et Goupillon les suivit des yeux jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus. A ce moment là, elle se mit à pleurer. Sa marraine, qui s’inquiétait pour elle, lui demanda ce qu’elle avait. « Je voudrais bien... je voudrais bien... » Elle pleurait si fort qu’elle ne put achever. Sa marraine, qui était fée, lui dit : « Tu voudrais bien aller au bal, n’est-ce pas ? — Hélas oui, dit Cendrillon en soupirant. — Hé bien, seras-tu bonne fille ? dit sa marraine, je t’y ferai aller. » Elle la mena dans sa chambre et la fit asseoir sur le lit : « Déshabille-toi ! ». Goupillon s’exécuta et se enlève tous ses vêtements. Sa chatte était couverte de poils et elle avait des traces de gras sur les seins. La marraine qui ...
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