L'expérience
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
jeunes,
copains,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
init,
fbi,
... sacoche un godemiché double : des deux côtés, il avait la forme d’un sexe d’homme, mais dans un bout, le sexe était de taille très modeste, de l’autre, il était un peu plus volumineux, mais très raisonnable, bien inférieur à celui de notre bel étalon. Mélanie enduisit les deux embouts de vaseline et tendit l’instrument à mon instructeur. Il remit deux doigts en moi, puis il introduisit doucement dans mon anus, avec d’infinies précautions, la partie la plus fine. Le sexe en latex est tellement petit que je le sens à peine. C’est lorsqu’il alla plus loin en moi que les doigts inquisiteurs que je ressentis une pénétration, comme une violation de mon être, mais ô combien plaisante. — Ça va là, chérie ? me demanda Mélanie.— Oh oui, c’est bon, répondis-je dans un souffle. Bernard faisait aller et venir le gode en moi et je connus mon premier orgasme anal sans être capable de la moindre retenue. Moi qui me disais que je ne jouirais sans doute jamais d’une introduction anale, tant cela me gênerait, j’y trouvais un plaisir non dissimulable et un relâchement complet, oubliant toutes les barrières de mes interdits culturels. On a beau avoir des parents très ouverts, très tolérants, il y a toujours en nous cette culture judéo-chrétienne de l’interdit, où tout ce qui est sexuel est sale, dégradant, avilissant, malsain… Mais si c’est fait avec douceur et tendresse, c’est tout autre chose. Si Dieu existe, il nous a donné le plaisir, la jouissance, pourquoi ne pourrions-nous pas l’utiliser ? ...
... Et si Dieu nous à fait à son image, c’est qu’il aimait les choses du sexe ; comment ne pas le fâcher si on n’aime pas ce qu’il a créé avec tant de talent : les hommes et les femmes ? Mais revenons à ma leçon, qui était en cours depuis une demi-heure ou peut-être une heure, j’avais perdu toute notion du temps, alors que le professeur ne m’avait toujours pas sodomisée : il n’en était encore qu’aux préliminaires. Il retira le gode, prit l’autre embout, et entra à nouveau en moi. Là, je sentis bien mieux l’ustensile qui allait au plus profond de moi-même. Mélanie me branlait le clitoris pour que je ne sente aucune douleur. Effectivement ce n’était pas douloureux, mais étais-je capable de rien ressentir après les orgasmes que je venais de connaître ? Bernard plongea le visage dans mon entrejambe, visitant de sa langue et de ses doigts toute mon intimité, de mon clitoris turgescent à mon anus dilaté en passant par ma vulve béante et juteuse. Pendant ce temps, Mélanie le suçait, histoire de donner encore plus de consistance à sa queue. Il mit un nouveau préservatif. Je savais que le moment de vérité approchait et essayais de me détendre au maximum. Il badigeonna la capote de vaseline et vint placer son gland tout contre mon œillet qui était légèrement ouvert après les insidieuses préparations qui avaient été faites. Il nous mit en place : Mélanie sur de dos, moi couchée sur elle, sur le ventre, mon vagin à porté de sa bouche. Ma copine commença à me lécher la vulve tout en écartant ...