Surprenant revirement (1)
Datte: 25/07/2017,
Catégories:
Gay
Ah les soirées. Tout le monde aime ça, ou presque. Sortir entre amis, danser dans les clubs, passer du temps dans les bars, marcher des heures dans les rues en pleine nuit sans trop savoir où aller ; simplement profiter de l’instant présent. En cet instant présent qu’est-ce vendredi soir, c’est dans une soirée en appartement que nous nous rendons ; moi, Serge, et Sonia. Je connais Sonia et Serge depuis le collège, nous étions tous les trois dans la même classe les deux dernières années. C’est avec eux que toute mon adolescence s’est construite: les sorties la nuit, les premières cigarettes, l’alcool et, bien sûr, le sexe... Dès le lycée, nous nous sommes intéressés de très près à la chose. Le soir où nous avons fêté notre diplôme, après une nuit bien arrosée, alors que je comatais à moitié sur le vieux divan de la mère de Serge, mes deux compères en ont profité pour "découvrir" les choses de la vie ensemble. Le lendemain matin, ils sont venus me réveiller comme des furies. Moitié éveillé moitié dans les vapes, je les entendais me raconter les détails de leur nuit passée ensemble. Ils employaient des mots comme "bizarre" voire même "gênant" au début, mais très vite ils passèrent à "bon", "délicieux", "extase" et "orgasme". Tous les deux étaient d’accord sur le fait que je devais essayer la chose très rapidement. Si rapidement qu’une nouvelle soirée fut organisée le week-end d’après ; Sonia était plus que partante pour retenter l’expérience, qui plus est avec une nouvelle ...
... personne. C’est chez elle que nous nous sommes réunis ce soir-là. Elle vivait seule avec sa mère dans un grand loft situé dans un quartier très bourgeois, cette dernière était en voyage d’affaires à Singapour, dieu seul sait pour quel genre d’affaires. Sonia, Serge et moi nous sommes mis à l’aise et avons descendu quelques bouteilles en rigolant et en se racontant les dernières conneries qu’on avait entendues à droit et à gauche. Au bout d’une heure ou deux, un léger silence venait de s’insinuer dans la pièce quand soudain, Sonia se leva du long canapé en velours couleur ocre du salon pour aller baisser légèrement l’intensité des lumières à l’aide d’un interrupteur au mur, jusqu’à obtenir une ambiance plus tamisée qui commençait à donner le ton. D’une démarche pompette, elle revint vers nous, se planta en face et commença à déboutonner son chemisier blanc en nous disant: — Alors les gars ? Lequel d’entre vous veut me prendre en premier ? Un léger blanc, puis nous éclatons de rire tous les trois, un rire à la fois gêné mais aussi plein d’excitation. Me voyant hésiter, Sonia s’agenouille entre mes jambes et me caresse l’intérieur des cuisses, ses yeux ont l’air de vouloir me dévorer l’entrejambe tant elle est excitée. Quelques caresses de plus suffisent pour me faire durcir. D’abord doucement puis, d’un seul coup, je sens mon sexe devenir si dur qu’il me fait mal dans mon jean’s, je ne l’avais presque jamais senti comme ça. Pour me soulager, je défais un à un les boutons qui ...