1. Le Congrès - Partie 04


    Datte: 13/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Nuit de Baise Dans un demi-sommeil, j'entends du bruit au niveau de la porte, quelqu'un entre discrètement. Je devine une ombre franchir le seuil de la chambre, elle s'arrête et regarde. Je suis bien visible, nue et attachée. L'homme allume la lumière du plafonnier et je reconnais le chef. Le premier qui est venu se faire sucer dans les cuisines en vertu de sa qualité. Jusqu'à cet instant, je ne pensais que cela allait être la réalité mais c'est bien vrai. Le directeur, Monsieur Moreau, m'a vraiment offerte. Le cuisinier avance vers moi, me mangeant des yeux. -Cette fois je ne vais pas me limiter à ta bouche. Très excité, il prend mes mamelles dans ses mains et commencent à les peloter sans ménagement. Il les pétrit, il les écrase, je gémis, je grimace. Il se recule et je le vois commencer à se dévêtir. Je vois son sexe à moitié dressé. Il attrape un oreiller et me le glisse sous les reins pour soulever mon bassin. Il regarde avec dégoût ma toison brune mais cela ne l'arrête pas Sans hésiter, il introduit deux doigts dans ma chatte. -Tu es déjà trempée ma salope... Je pousse un couinement. S'il continue il va me faire jouir... Il alors prend mes chevilles dans ses mains, les écarte en les tenant en l'air et il m'enfile directement. -Tu es une vraie chienne en chaleur. Il me laboure profondément et je ne peux me retenir de jouir tellement j'étais chaude, cela l'excite encore plus et il continue de me limer. Malgré la violence de la pénétration, je ne peux m'empêcher de ...
    ... jouir sous les coups de boutoirs de cet inconnu comme avant le cocktail quand j'ai été prise à l'aveugle. -Putain! Tu es une vraie pute pour jouir ainsi! Ça l'excite encore plus et il me tringle encore plus fort. Jamais je ne me suis sentie autant traitée comme un jouet sexuel. Il ne me considère pas comme une femme mais juste comme une femelle utilisée pour prendre son plaisir. Rien que d'y penser cela m'excite aussi. Il me ramone profondément la chatte comme rarement elle ne l'a été. Cette fois-ci il dure plus longtemps que dans la cuisine. Je jouis en secouant la tête dans tous les sens. Il est endurant et il me défonce sans ménagement longuement. -J'ai joui dans ta bouche, je viens de baiser ta chatte, il me reste encore un trou à te défoncer. Il sort de mon sexe et il plie mes genoux vers mes épaules. Je me sens humiliée, ainsi exposée, le bassin relevé, je sais que mon petit trou lui apparait. Il bande toujours. Il a dû prendre du viagra, me dis-je. Je sens son regard posé sur mon entrecuisse, il matte ma chatte trempée et très ouverte et il voit mon anus sans défense. Il pointe son gland contre mon trou du cul et sans plus de précaution, il appuie de tout son poids pour s'y enfoncer. Il sait que je ne peux que subir, il en profite pour me faire ce qu'il n'a jamais pu faire à aucune autre femme. Malgré ce que j'ai subit depuis la veille au soir, je suis encore serrée et je pousse un petit cri. Mon cul qui était encore vierge avant d'arriver au congrès n'arrête plus d'être ...
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