1. CHARLINE (ou comment je suis devenue la chienne de mon beau-père) (7)


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Trash,

    Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination FANTASMATIQUE. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence. Chapitre 8 : Où je reçois une visite inattendue. Comme la fois précédente, mes fesses ont repris leur couleur normale au bout de 2 heures, mais la douleur de mon anus a mis moins de temps pour disparaître. Cela ne m’a posé un réel problème que pour faire la grosse commission et Julien ne s’intéressait pas à trou là, donc ça n’allait pas trop mal. Bien que je ne sois plus obligée de porter ma tenue de soumise en permanence, j’ai quand même pris l’habitude de porter les mules quand je restais cul-nu à la maison. Le surlendemain du marché que j’avais passé avec Monsieur, j’ai reçu un SMS de lui disant : « Prépare-toi, j’arrive ! ». Bien que je sache que je disposais d’une demi-heure pour le faire, je suis quand même allée rapidement m’habiller et me coiffer, car j’étais impatiente de le revoir, à la fois inquiète et curieuse de savoir comment il allait me tourmenter. Je l’ai attendu en écoutant un CD de Michel Sardou, quand j’ai entendu le bruit de la serrure j’étais au salon et je me suis mise immédiatement en position d’attente. Quand il est entré dans la pièce il portait un sac à la main, il m’a regardée et il m’a dit : « J’ai apporté des accessoires pour compléter te tenue de soumise, j’espère qu’ils te plairont ! ». J’ai rougi, mais je suis restée silencieuse. Il a sorti de son sac un ...
    ... collier pour chien en cuir rouge, de 3 centimètres de largeur, avec une petite plaque ovale en métal poli sur laquelle était gravé « Charline » et 4 bracelets assortis, 2 pour mes poignets et 2 pour mes chevilles. Il me les a attachés et il m’a dit : « Voilà, comme ça tu ressembles un peu plus à ce que tu es réellement ! ». J’ai rougi de plus belle, mais je me suis bien gardée de lui répondre. Il m’a ensuite demandé d’aller lui chercher une bière et il a mis un CD de ZZ Top avant de s’installer dans son fauteuil habituel, pour la première fois habillé. J’ai trouvé cela étrange, car il semblait attendre quelque chose, mais je ne savais pas quoi. Je me suis remise en position d’attente pendant qu’il sirotait sa boisson, et la réponse à mes interrogations ne s’est pas faite attendre très longtemps, puisqu’il n’avait bu que la moitié de son verre quand la sonnette de la porte d’entrée a retenti. J’ai sursauté. Il a soulevé son sourcil droit et il m’a dit d’une manière ironique : « Tu ne vas pas voir qui c’est ? ». Là j’étais coincée, car je ne pouvais pas aller ouvrir la porte dans ma tenue de soumise. Je me suis quand même décidée à aller voir qui sonnait à cette heure improbable, car bien que je ne reçoive jamais de visite c’était peut-être important. Je me suis dirigée sans faire de bruit vers l’entrée, et Monsieur a posé sa bière et m’a suivie. Quand j’ai regardé dans l’œilleton du judas je suis devenue livide : c’était Sainte Virginie ! Je me suis figée, car elle n’était jamais ...
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