Fabienne ou une exposition singulière
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
campagne,
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volupté,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
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init,
... les donner aux hommes ou aux femmes ?— Aux vieux, je n’en donne jamais. Je n’aime pas les hommes de plus de trente ou trente-cinq ans, vous devez bien vous en douter. Par contre les jeunes hommes comme vous, même plus jeunes, je ne dis pas non. Quant aux femmes j’ai tendance à les préférer plus mûres, très féminines et très consentantes. Frederica vous en a déjà parlé et votre cousin Pierre a dû vous en dire un mot.— Oui, mais un seul. En particulier il m’a dit que vous avez initié à l’amour deux copains de son fils.— Gardez-le pour vous, j’ai aussi initié son fils l’année de ses dix-huit ans. À cause de sa timidité, il allait rentrer en fac tout en étant encore innocent, un vrai problème, vous ne trouvez pas ? De fait, je n’ai fait qu’accomplir mon devoir envers un jeune. Mais soyons sérieux maintenant. Vous êtes venu pour mes peintures et mes dessins, ils sont exposés dans la grange que j’ai fait transformer en salle d’exposition il y a quelques mois. Alors suivez-moi. Ah ! Un détail, auriez-vous oublié de m’embrasser ou est-ce une volonté délibérée de votre part ?— Ni l’un ni l’autre, ma chère Fabienne. C’est simplement qu’en vous voyant j’avais plus envie de vous violer qu’autre chose. Alors j’ai contenu mes pulsions les plus basses. En entendant mes paroles, Fabienne recule de quelques pas dans sa maison. Elle est habillée d’une robe noire assez décolletée qui s’arrête au-dessus du genou et met son corps particulièrement en valeur. Je m’approche d’elle et lui fais un ...
... chaste bisou sur ses lèvres. — C’est tout, me dit-elle ? Je la regarde dans les yeux et me rapproche pour l’embrasser plus sérieusement. Elle me saisit la tête et d’un regard un peu dur me dit : — Moi aussi j’ai envie de vous violer, l’homme aux fesses de femme. Elle m’embrasse avec force et beaucoup de sensualité. Ma main caresse son dos et descend lentement vers ses reins, puis ses fesses. Elles sont très fermes. Son corps est parcouru de petits frissons. Ses seins appuyés sur ma poitrine semblent devenir de plus en plus durs. Je sens le bas de son ventre sur mon sexe. En fait, je sens tout son corps contre le mien. C’est difficile de rester indifférent dans cette situation et elle le perçoit bien. Je remonte sa jupe, ses fesses ne sont plus protégées que par une petite culotte, une bien faible défense. Ma main glisse en haut de ses cuisses vers un terrain défendu, les premiers symptômes de désir apparaissent. Je ne dois pas la laisser dans cet état-là. D’un geste du pied je referme la porte d’entrée. Sa petite culotte me gêne. Je la baisse juste un peu en dessous de ses fesses, pour rendre facilement accessibles ses parties les plus intimes. Elle ne porte ni bas, ni collant. J’exerce une très légère pression avec ma main entre ses cuisses, et elle les écarte juste ce qu’il faut pour m’offrir toute sa féminité. Elle m’embrasse une deuxième fois langoureusement, sa langue tourne dans ma bouche, une langue curieuse, agile, sensuelle et d’un goût délicieux, elle me cherche, elle ...